Les hôpitaux recommencent à interdire les visites pour la sécurité de tous suite à la hausse des contaminations au Covid 19. C’est le cas du Centre de santé des Fagnes à Chimay, toutes les visites sont interdites à partir de ce vendredi, 8h. Quelques exceptions sont toutefois prévues. Pour les urgences, un accompagnant est autorisé pour les personnes vulnérables. En maternité, seul le conjoint est autorisé ainsi qu’un membre de la fratrie une fois sur l’ensemble du séjour. Au niveau de la pédiatrie, un seul parent est admis 24h sur 24. En ce qui concerne les soins intensifs, tout se fait sur rendez-vous et avec l’accord du médecin responsable du service. Pour les consultations, le patient doit venir seul.
Le CHR Mons-Hainaut, implanté à Mons et à Warquignies, a décidé de suspendre aussi les visites dans le contexte de la 4e vague de la crise sanitaire. Des exceptions peuvent être faites pour des situations exceptionnelles. La présence d’accompagnants auprès des patients ambulatoires est également suspendue. Un adulte sera toutefois autorisé auprès d’un enfant, d’une patiente enceinte, de personnes à mobilité réduite ou en tant qu’accompagnant interprète.
(photo http://www.vivalia.be)
Les hôpitaux recommencent à interdire les visites pour la sécurité de tous suite à la hausse des contaminations au Covid 19. C’est le cas du Centre de santé des Fagnes à Chimay, toutes les visites sont interdites à partir de ce vendredi, 8h. Quelques exceptions sont toutefois prévues. Pour les urgences, un accompagnant est autorisé pour les personnes vulnérables. En maternité, seul le conjoint est autorisé ainsi qu’un membre de la fratrie une fois sur l’ensemble du séjour. Au niveau de la pédiatrie, un seul parent est admis 24h sur 24. En ce qui concerne les soins intensifs, tout se fait sur rendez-vous et avec l’accord du médecin responsable du service. Pour les consultations, le patient doit venir seul.
Le CHR Mons-Hainaut, implanté à Mons et à Warquignies, a décidé de suspendre aussi les visites dans le contexte de la 4e vague de la crise sanitaire. Des exceptions peuvent être faites pour des situations exceptionnelles. La présence d’accompagnants auprès des patients ambulatoires est également suspendue. Un adulte sera toutefois autorisé auprès d’un enfant, d’une patiente enceinte, de personnes à mobilité réduite ou en tant qu’accompagnant interprète.
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