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L’alimentation des jeunes hennuyers n’est pas encore au beau fixe
Publié le 2 novembre, 2021

Les jeunes hennuyers font-ils attention à leur alimentation ? Peut mieux faire, selon l’observatoire de la santé. C’est ce qui ressort d’une étude menée entre 2018 et 2019 par l’Observatoire auprès des 10-17 ans, en collaboration avec le réseau des Centres de Santé Scolaires Vigies.

Selon les résultats de cette enquête, la consommation quotidienne de fruits et de légumes n’est adoptée que par une minorité des jeunes hennuyers, et elle a même tendance à diminuer. En 2020, 44% des jeunes ne consomment ni fruits ni légumes chaque jour.

La consommation d’eau est aussi pointée du doigt. Même si les chiffres augmentent, seuls 81% des jeunes boivent de l’eau quotidiennement.

L’étude met aussi en avant l’équilibre alimentaire qui n’est pas toujours respecté. Conséquence, 20% des jeunes hennuyers sont considérés comme en surpoids, et 12% comme obèse.

Des pistes d’explication sont avancées : une majorité de ces adolescents (70%) ne consultent pas, ou rarement, les étiquettes alimentaires. Principalement car ils les trouvent trop complexes. L’école joue aussi un rôle dans leurs habitudes et comportements alimentaires. Les sodas sucrés sont trop souvent à leur disposition à travers des distributeurs. Enfin, toujours selon cette étude, il existerait un lien entre les comportements de santé et le contexte socio-économique. Les jeunes en situation plus précaire seraient plus exposés à des comportements ou des situations défavorables pour leur santé.

Pour tenter de résoudre ce problème, l’Observatoire de la santé met en avant plusieurs pistes à envisager, comme la mise en place de politiques publiques valorisant l’accès équitable à une alimentation diversifiée, qualitative et durable. Mais aussi la lutte contre les inégalités sociales, la mise en place d’aménagements dans les écoles, ou encore le développement des compétences psychosociales et alimentaires des jeunes.

Pour plus de détails : le rapport complet est accessible sur le site de l’Observatoire de la Santé.

L’alimentation des jeunes hennuyers n’est pas encore au beau fixe
Publié le 2 novembre, 2021

Les jeunes hennuyers font-ils attention à leur alimentation ? Peut mieux faire, selon l’observatoire de la santé. C’est ce qui ressort d’une étude menée entre 2018 et 2019 par l’Observatoire auprès des 10-17 ans, en collaboration avec le réseau des Centres de Santé Scolaires Vigies.

Selon les résultats de cette enquête, la consommation quotidienne de fruits et de légumes n’est adoptée que par une minorité des jeunes hennuyers, et elle a même tendance à diminuer. En 2020, 44% des jeunes ne consomment ni fruits ni légumes chaque jour.

La consommation d’eau est aussi pointée du doigt. Même si les chiffres augmentent, seuls 81% des jeunes boivent de l’eau quotidiennement.

L’étude met aussi en avant l’équilibre alimentaire qui n’est pas toujours respecté. Conséquence, 20% des jeunes hennuyers sont considérés comme en surpoids, et 12% comme obèse.

Des pistes d’explication sont avancées : une majorité de ces adolescents (70%) ne consultent pas, ou rarement, les étiquettes alimentaires. Principalement car ils les trouvent trop complexes. L’école joue aussi un rôle dans leurs habitudes et comportements alimentaires. Les sodas sucrés sont trop souvent à leur disposition à travers des distributeurs. Enfin, toujours selon cette étude, il existerait un lien entre les comportements de santé et le contexte socio-économique. Les jeunes en situation plus précaire seraient plus exposés à des comportements ou des situations défavorables pour leur santé.

Pour tenter de résoudre ce problème, l’Observatoire de la santé met en avant plusieurs pistes à envisager, comme la mise en place de politiques publiques valorisant l’accès équitable à une alimentation diversifiée, qualitative et durable. Mais aussi la lutte contre les inégalités sociales, la mise en place d’aménagements dans les écoles, ou encore le développement des compétences psychosociales et alimentaires des jeunes.

Pour plus de détails : le rapport complet est accessible sur le site de l’Observatoire de la Santé.