Après un an de travail et d’études, le groupe Revolht a proposé ce lundi une alternative à la Boucle du Hainaut, ce projet de ligne à très haute tension de la société Elia. Ce dernier consiste en la réalisation d’une autoroute énergétique, « chaînon manquant » dans le transport de l’électricité à travers la province. La potentielle nouvelle ligne serait établie sur un « corridor » de 84,8 kilomètres envisagé entre le poste à haute tension d’Avelgem et celui Courcelles, en traversant 14 communes de notre province (Mont-de-L’Enclus, Celles, Frasnes-Les-Anvaing, Leuze-en-Hainaut, Ath, Chièvres, Brugelette, Lens, Soignies, Braine-le-Comte, Ecaussines, Seneffe, Pont-à-Celles et Courcelles).
Toutes les communes concernées se sont opposées au projet. Pour Revolht, il comporte de nombreux risques sur le plan environnemental et sanitaire, provoqués par le champ magnétique de ligne aérienne. Il nécessite par ailleurs, une révision du plan de secteur – L’alternative de Revolht, validée par une étude de l’UMons, porte sur la technologie choisie, le courant continu (DC) en enfouissement, contrairement au courant alternatif (AC) en aérien du projet d’Elia.
La technologie peut être enterrée, par exemple, le long des autoroutes, des RAVEL, des chemins de halage. Elle viserait à oublier l’autoroute énergétique envisagée par Elia pour plutôt considérer différents points d’origine énergétique à relier en direct avec des points d’arrivée.
Après un an de travail et d’études, le groupe Revolht a proposé ce lundi une alternative à la Boucle du Hainaut, ce projet de ligne à très haute tension de la société Elia. Ce dernier consiste en la réalisation d’une autoroute énergétique, « chaînon manquant » dans le transport de l’électricité à travers la province. La potentielle nouvelle ligne serait établie sur un « corridor » de 84,8 kilomètres envisagé entre le poste à haute tension d’Avelgem et celui Courcelles, en traversant 14 communes de notre province (Mont-de-L’Enclus, Celles, Frasnes-Les-Anvaing, Leuze-en-Hainaut, Ath, Chièvres, Brugelette, Lens, Soignies, Braine-le-Comte, Ecaussines, Seneffe, Pont-à-Celles et Courcelles).
Toutes les communes concernées se sont opposées au projet. Pour Revolht, il comporte de nombreux risques sur le plan environnemental et sanitaire, provoqués par le champ magnétique de ligne aérienne. Il nécessite par ailleurs, une révision du plan de secteur – L’alternative de Revolht, validée par une étude de l’UMons, porte sur la technologie choisie, le courant continu (DC) en enfouissement, contrairement au courant alternatif (AC) en aérien du projet d’Elia.
La technologie peut être enterrée, par exemple, le long des autoroutes, des RAVEL, des chemins de halage. Elle viserait à oublier l’autoroute énergétique envisagée par Elia pour plutôt considérer différents points d’origine énergétique à relier en direct avec des points d’arrivée.
