De sympathiques moutons paissent tranquillement dans les vergers de la station d’épuration Ipalle de Froyennes et à proximité du recyparc d’Antoing-Brunehaut depuis un mois.
Des « nez noir du valais », ces herbivores interviennent en renfort des tondeuses sur plusieurs sites de l’Intercommunale et permettent de convertir quelque 17.000 m² d’espaces verts en éco-pâturage.
Le fauchage tardif était déjà d’application sur les sites d’Ipalle et l’idée est d’aller plus loin encore en faisant appel aux moutons de la bergerie havinnoise « La Bêle Tondeuse ».
Olivier Parent ingénieur au sein de l’intercommunale au micro de Geoffrey Ghilmot.
Le développement durable n’est pas neuf chez Ipalle. Autour de terrains, recyparcs, on peut remarquer la présence de ruches, hôtels à insectes, nichoirs.
Ainsi à Beloeil, un tas de bois a été laissé afin d’accueillir les petits (et plus gros) auxiliaires du jardin. Un nouvel habitant du recyparc y a pris ses aises. Un joli petit hérisson.
De sympathiques moutons paissent tranquillement dans les vergers de la station d’épuration Ipalle de Froyennes et à proximité du recyparc d’Antoing-Brunehaut depuis un mois.
Des « nez noir du valais », ces herbivores interviennent en renfort des tondeuses sur plusieurs sites de l’Intercommunale et permettent de convertir quelque 17.000 m² d’espaces verts en éco-pâturage.
Le fauchage tardif était déjà d’application sur les sites d’Ipalle et l’idée est d’aller plus loin encore en faisant appel aux moutons de la bergerie havinnoise « La Bêle Tondeuse ».
Olivier Parent ingénieur au sein de l’intercommunale au micro de Geoffrey Ghilmot.
Le développement durable n’est pas neuf chez Ipalle. Autour de terrains, recyparcs, on peut remarquer la présence de ruches, hôtels à insectes, nichoirs.
Ainsi à Beloeil, un tas de bois a été laissé afin d’accueillir les petits (et plus gros) auxiliaires du jardin. Un nouvel habitant du recyparc y a pris ses aises. Un joli petit hérisson.