Au Festival International du Film de Mons, les jurys ont rendu leur verdict ce vendredi soir. The Whaler Boy, de Philipp Yuryev a reçu le prix de la meilleure réalisation ; My Wonderful Wanda, de Bettina Oberli, a reçu celui du scénario ; et I never Cry, de Piotr Domalewski le Grand Prix du Festival.
La Terre des Hommes a aussi été récompensé. Le long métrage de Naël Marandin a reçu le prix du public et celui de l’interprétation, pour Diane Rouxel. Cette comédienne française de 27 ans y interprète Constance, une fille d’agriculteur qui veut reprendre l’exploitation de son père et la sauver de la faillite. Elle doit donc s’agrandir et investir, mais surtout s’imposer face aux grands exploitants qui partagent la terre et le pouvoir. Ecoutez sa réaction à l’issue de la cérémonie hier soir.
Un palmarès éclectique établi par un jury qui l’était tout autant. Ecoutez son président, le comédien Georges Corraface.
Pendant une semaine, à Mons, le public a pu découvrir une soixantaine de films – courts et longs métrages – en provenance d’une vingtaine de pays différents. Habituellement organisé en mars, le Festival a dû se réinventer cette année, dans les conditions sanitaires que l’on connaît. Et le pari est gagné, pour Maxime Dieu, l’administrateur délégué du festival.
La 36ème édition du Festival s’est refermée avec la projection du film Profession du père, de Jean-Pierre Améris. Deux Belges y sont à l’affiche : Benoît Poelvoorde et Jules Lefebvre. Ce dernier interprète Emile, une jeune garçon de 12 ans qui vit dans une ville de province en France, dans les années 60. Son père, campé par Benoît Poelvoorde, est un véritable héros pour le garçon, et pour cause, il est tour à tour chanteur, footballeur, espion ou encore conseiller personnel du général de Gaule. Bref, mythomane, surtout. Ce film est adapté du roman de Sorj Chalandon. Ecoutez Jean-Pierre Améris, le réalisateur. C’est la troisième fois qu’il dirige Benoît Poelvoorde sur un de ses films.
Produit par le Mons Memorial Museum, ce film met en lumière le rôle des femmes résistantes pendant la seconde guerre mondiale, dans la région. Il mêle des reconstitutions et des témoignages forts.
Présenté en première cette semaine au Festival, « Résistantes » sera diffusé au MMM dès le mois de septembre.

La comédienne belge Natacha Amal a prêté sa voix au film documentaire… Un travail chargé en émotions…
Dans « La terre des hommes » (compétition internationale au festival de Mons), Naël Marandin raconte l’histoire de Constance (Diane Rouxel), la fille d’un agriculteur qui tente de sauver la ferme familiale de la faillite. Elle doit dès lors s’imposer dans un univers dominé par les grands exploitants…
C’est Olivier Gourmet qui campe le père de Constance. La comédien belge a par ailleurs joué un rôle dans la naissance du film. Naël Marandin nous l’explique :

« Une vie démente » est le premier long métrage des réalisateurs Ann Sirot et Raphaël Balboni. Il raconte la difficulté de gérer une personne atteinte de démence sémantique, une maladie neurodégénérative semblable à la maladie d’Alzheimer.

Révélé dans la série courte Samantha Oups en 2004, David Strajmayster a depuis participé à la série de TF1 Doc Martin, avec Thierry Lhermitte. On l’a aussi récemment vu dans celle de Canal+, Platane.
Sabrina Seyvecou a quant à elle débuté sa carrière au cinéma en 2002 dans Choses secrètes, le film sulfureux de Jean-Claude Brisseau. Depuis, on l’a notamment vue dans Cloclo (2012), Ce qui nous lie (2017) ou Le rire de ma mère (2018).

Georges Corraface est né à Paris. C’est notamment à la télévision qu’il se fait connaître, en participant à des séries comme Alex Santana, négociateur ; Section de recherches ou encore Clem. Il revient de temps en temps au théâtre, notamment avec une pièce inspirée de plusieurs œuvres de Kazantzakis qu’il écrit et met en scène à Paris et à Athènes. Actuellement, il poursuit sa carrière d’acteur, tout en développant des projets de longs métrages et de documentaires en tant que scénariste et réalisateur.
Réécoutez son interview ici :

Jaco Van Dormael était à Mons ce dimanche, à l’occasion de son premier long métrage, Toto le héro. Sorti il y a tout juste 30 ans, ce film est un grand classique du cinéma belge. IL avait reçu la Caméra d’Or à Cannes en 1991 ! Les festivaliers montois ont pu le redécouvrir dans une version restaurée.
Réécoutez l’interview de Jaco Van Dormael ici :
A Mons, dans le cadre de la compétition des courts-métrages belges, les festivaliers ont pu découvrir « Tonton Maurice » de Xavier Diskeuve, en présence d’une partie de l’équipe du film, Freddy Tougaux et Vincent Pagé.
Réécoutez leurs interviewes ici :

La ministre wallonne de la santé, de l’action sociale et de l’égalité des chances, Christie Morreale a assisté à la projection du film « Jumbo » en audiodescription ce samedi au Festival International du Film de Mons. Les yeux bandés, elle a rejoint sur scène l’équipe de l’Œuvre Fédérale Les Amis des Aveugles et Malvoyants (page officielle) avec l’aide d’un chien-guide, Seattle.
L’équipe du film « Un triomphe » célèbre l’ouverture du 36ème Festival International du Film de Mons ce soir, à Imagix. Réécoutez l’interview du réalisateur Emmanuel Courcol et du comédien Pierre Lottin ici :
Initialement prévue en mars, puis en mai, la 36ème édition du Festival International du Film de Mons débutera ce vendredi et se tiendra jusqu’au 16 juillet, à Imagix et à l’Auditorium Abel Dubois. Durant une semaine, le public pourra y découvrir pas moins de 68 films – courts et longs métrages – en provenance de 21 pays ! Parmi eux, 30 longs métrages seront proposés en premières belges. Maxime Dieu, délégué général du Festival :
Vendredi soir, en ouverture, c’est le film Un triomphe qui sera proposé aux festivaliers. L’histoire d’un acteur en galère qui accepte d’animer un atelier théâtre dans une prison, pour boucler ses fins de mois. Surpris par les talents de comédien des détenus, il se met en tête de monter avec eux une pièce sur la scène d’un vrai théâtre. C’est inspiré d’une histoire vraie et c’est une formidable aventure humaine, portée notamment par Kad Merad et David Ayala. Emmanuel Courcol est le réalisateur de ce film. Il sera présent à Mons vendredi soir pour présenter son film au public. Il est encore possible de réserver vos places, notamment via le site www.festivaldemons.be.
Le Festival de Mons, c’est donc de nombreux films à découvrir et parmi eux, une large sélection de films destinés au jeune public et abordant des sujets particuliers comme l’amitié, le vivre ensemble, la différence ou encore la protection animale.
A épingler aussi l’hommage qui sera rendu à Jaco Van Dormael, notamment pour célébrer les 30 ans de la sortie de Toto le héros, son premier film, caméra d’or à Cannes en 1991. Il est l’un des plus grands cinéastes du cinéma belge et ses films sont à la fois poétiques, populaires. Il sera présent à Mons ce dimanche 11 juillet, dans le cadre de la projection du film Toto le Héros.
Parmi les autres activités proposées, en marge des projections, citons l’exposition photos proposées à l’Hôtel Van Der Valk. Elle revient sur les moments forts de la 35ème édition, organisée juste avant le lockdown de mars 2020. La désormais traditionnelle soirée Blind Test aura lieu samedi soir, dès 18h, au Palais des congrès. L’occasion de jouer avec les plus grandes musiques de films.
Les conditions sanitaires seront évidemment respectées et différents aménagements ont été prévus par les équipes organisatrices. Jean-Paul Deplus, président du Festival :
Bref, vous l’aurez compris, le Festival International du Film de Mons, c’est un très vaste programme, à découvrir sur le site www.festivaldemons.be. L’actualité de l’événement sera aussi à suivre sur Sud Radio, tous les jours, à 14h et 19h. Des places sont aussi à gagner, pour la séance de votre choix : envoyez FESTIVAL et vos coordonnées complètes au 6024 (1€/sms).
Au Festival International du Film de Mons, les jurys ont rendu leur verdict ce vendredi soir. The Whaler Boy, de Philipp Yuryev a reçu le prix de la meilleure réalisation ; My Wonderful Wanda, de Bettina Oberli, a reçu celui du scénario ; et I never Cry, de Piotr Domalewski le Grand Prix du Festival.
La Terre des Hommes a aussi été récompensé. Le long métrage de Naël Marandin a reçu le prix du public et celui de l’interprétation, pour Diane Rouxel. Cette comédienne française de 27 ans y interprète Constance, une fille d’agriculteur qui veut reprendre l’exploitation de son père et la sauver de la faillite. Elle doit donc s’agrandir et investir, mais surtout s’imposer face aux grands exploitants qui partagent la terre et le pouvoir. Ecoutez sa réaction à l’issue de la cérémonie hier soir.
Un palmarès éclectique établi par un jury qui l’était tout autant. Ecoutez son président, le comédien Georges Corraface.
Pendant une semaine, à Mons, le public a pu découvrir une soixantaine de films – courts et longs métrages – en provenance d’une vingtaine de pays différents. Habituellement organisé en mars, le Festival a dû se réinventer cette année, dans les conditions sanitaires que l’on connaît. Et le pari est gagné, pour Maxime Dieu, l’administrateur délégué du festival.
La 36ème édition du Festival s’est refermée avec la projection du film Profession du père, de Jean-Pierre Améris. Deux Belges y sont à l’affiche : Benoît Poelvoorde et Jules Lefebvre. Ce dernier interprète Emile, une jeune garçon de 12 ans qui vit dans une ville de province en France, dans les années 60. Son père, campé par Benoît Poelvoorde, est un véritable héros pour le garçon, et pour cause, il est tour à tour chanteur, footballeur, espion ou encore conseiller personnel du général de Gaule. Bref, mythomane, surtout. Ce film est adapté du roman de Sorj Chalandon. Ecoutez Jean-Pierre Améris, le réalisateur. C’est la troisième fois qu’il dirige Benoît Poelvoorde sur un de ses films.
Produit par le Mons Memorial Museum, ce film met en lumière le rôle des femmes résistantes pendant la seconde guerre mondiale, dans la région. Il mêle des reconstitutions et des témoignages forts.
Présenté en première cette semaine au Festival, « Résistantes » sera diffusé au MMM dès le mois de septembre.

La comédienne belge Natacha Amal a prêté sa voix au film documentaire… Un travail chargé en émotions…
Dans « La terre des hommes » (compétition internationale au festival de Mons), Naël Marandin raconte l’histoire de Constance (Diane Rouxel), la fille d’un agriculteur qui tente de sauver la ferme familiale de la faillite. Elle doit dès lors s’imposer dans un univers dominé par les grands exploitants…
C’est Olivier Gourmet qui campe le père de Constance. La comédien belge a par ailleurs joué un rôle dans la naissance du film. Naël Marandin nous l’explique :

« Une vie démente » est le premier long métrage des réalisateurs Ann Sirot et Raphaël Balboni. Il raconte la difficulté de gérer une personne atteinte de démence sémantique, une maladie neurodégénérative semblable à la maladie d’Alzheimer.

Révélé dans la série courte Samantha Oups en 2004, David Strajmayster a depuis participé à la série de TF1 Doc Martin, avec Thierry Lhermitte. On l’a aussi récemment vu dans celle de Canal+, Platane.
Sabrina Seyvecou a quant à elle débuté sa carrière au cinéma en 2002 dans Choses secrètes, le film sulfureux de Jean-Claude Brisseau. Depuis, on l’a notamment vue dans Cloclo (2012), Ce qui nous lie (2017) ou Le rire de ma mère (2018).

Georges Corraface est né à Paris. C’est notamment à la télévision qu’il se fait connaître, en participant à des séries comme Alex Santana, négociateur ; Section de recherches ou encore Clem. Il revient de temps en temps au théâtre, notamment avec une pièce inspirée de plusieurs œuvres de Kazantzakis qu’il écrit et met en scène à Paris et à Athènes. Actuellement, il poursuit sa carrière d’acteur, tout en développant des projets de longs métrages et de documentaires en tant que scénariste et réalisateur.
Réécoutez son interview ici :

Jaco Van Dormael était à Mons ce dimanche, à l’occasion de son premier long métrage, Toto le héro. Sorti il y a tout juste 30 ans, ce film est un grand classique du cinéma belge. IL avait reçu la Caméra d’Or à Cannes en 1991 ! Les festivaliers montois ont pu le redécouvrir dans une version restaurée.
Réécoutez l’interview de Jaco Van Dormael ici :
A Mons, dans le cadre de la compétition des courts-métrages belges, les festivaliers ont pu découvrir « Tonton Maurice » de Xavier Diskeuve, en présence d’une partie de l’équipe du film, Freddy Tougaux et Vincent Pagé.
Réécoutez leurs interviewes ici :

La ministre wallonne de la santé, de l’action sociale et de l’égalité des chances, Christie Morreale a assisté à la projection du film « Jumbo » en audiodescription ce samedi au Festival International du Film de Mons. Les yeux bandés, elle a rejoint sur scène l’équipe de l’Œuvre Fédérale Les Amis des Aveugles et Malvoyants (page officielle) avec l’aide d’un chien-guide, Seattle.
L’équipe du film « Un triomphe » célèbre l’ouverture du 36ème Festival International du Film de Mons ce soir, à Imagix. Réécoutez l’interview du réalisateur Emmanuel Courcol et du comédien Pierre Lottin ici :
Initialement prévue en mars, puis en mai, la 36ème édition du Festival International du Film de Mons débutera ce vendredi et se tiendra jusqu’au 16 juillet, à Imagix et à l’Auditorium Abel Dubois. Durant une semaine, le public pourra y découvrir pas moins de 68 films – courts et longs métrages – en provenance de 21 pays ! Parmi eux, 30 longs métrages seront proposés en premières belges. Maxime Dieu, délégué général du Festival :
Vendredi soir, en ouverture, c’est le film Un triomphe qui sera proposé aux festivaliers. L’histoire d’un acteur en galère qui accepte d’animer un atelier théâtre dans une prison, pour boucler ses fins de mois. Surpris par les talents de comédien des détenus, il se met en tête de monter avec eux une pièce sur la scène d’un vrai théâtre. C’est inspiré d’une histoire vraie et c’est une formidable aventure humaine, portée notamment par Kad Merad et David Ayala. Emmanuel Courcol est le réalisateur de ce film. Il sera présent à Mons vendredi soir pour présenter son film au public. Il est encore possible de réserver vos places, notamment via le site www.festivaldemons.be.
Le Festival de Mons, c’est donc de nombreux films à découvrir et parmi eux, une large sélection de films destinés au jeune public et abordant des sujets particuliers comme l’amitié, le vivre ensemble, la différence ou encore la protection animale.
A épingler aussi l’hommage qui sera rendu à Jaco Van Dormael, notamment pour célébrer les 30 ans de la sortie de Toto le héros, son premier film, caméra d’or à Cannes en 1991. Il est l’un des plus grands cinéastes du cinéma belge et ses films sont à la fois poétiques, populaires. Il sera présent à Mons ce dimanche 11 juillet, dans le cadre de la projection du film Toto le Héros.
Parmi les autres activités proposées, en marge des projections, citons l’exposition photos proposées à l’Hôtel Van Der Valk. Elle revient sur les moments forts de la 35ème édition, organisée juste avant le lockdown de mars 2020. La désormais traditionnelle soirée Blind Test aura lieu samedi soir, dès 18h, au Palais des congrès. L’occasion de jouer avec les plus grandes musiques de films.
Les conditions sanitaires seront évidemment respectées et différents aménagements ont été prévus par les équipes organisatrices. Jean-Paul Deplus, président du Festival :
Bref, vous l’aurez compris, le Festival International du Film de Mons, c’est un très vaste programme, à découvrir sur le site www.festivaldemons.be. L’actualité de l’événement sera aussi à suivre sur Sud Radio, tous les jours, à 14h et 19h. Des places sont aussi à gagner, pour la séance de votre choix : envoyez FESTIVAL et vos coordonnées complètes au 6024 (1€/sms).