« Ce n’est pas le moment de faire la fête alors que les hôpitaux sont pleins », c’est ce qu’a affirmé hier soir le bourgmestre de la Ville de Bruxelles, Philippe Close, interrogé lors de la séance du conseil communal sur les incidents survenus au cours du premier rassemblement « la Boum » au Bois de la Cambre, le 1er avril dernier et sur la perspective d’un deuxième événement de ce type le 1er mai. En vue de la Boum 2 et de la journée de samedi, il n’est pas question selon lui de fermer le bois de la Cambre. En cas de rassemblement, il adoptera avant tout une approche préventive, à l’aide de stewards. Mais s’il n’y est pas donné suite, il y aura une intervention des forces de l’ordre.
« Ce n’est pas le moment de faire la fête alors que les hôpitaux sont pleins », c’est ce qu’a affirmé hier soir le bourgmestre de la Ville de Bruxelles, Philippe Close, interrogé lors de la séance du conseil communal sur les incidents survenus au cours du premier rassemblement « la Boum » au Bois de la Cambre, le 1er avril dernier et sur la perspective d’un deuxième événement de ce type le 1er mai. En vue de la Boum 2 et de la journée de samedi, il n’est pas question selon lui de fermer le bois de la Cambre. En cas de rassemblement, il adoptera avant tout une approche préventive, à l’aide de stewards. Mais s’il n’y est pas donné suite, il y aura une intervention des forces de l’ordre.