Samedi vers 23h50, les équipes d’Intervention et 2 équipes de la BAC (appelées en renfort) ont pénétré sur le terrain où se déroulait la fête.
La musique était audible depuis la rue, une dizaine de véhicules étaient garés à l’arrière du bâtiment et l’on aperçoit à travers les fenêtres des personnes occupées à danser.
Lorsque la douzaine de policiers pénètrent dans le bâtiment quelques fêtards tentent de prendre la fuite alors que d’autres essayent de se dissimuler dans les toilettes ou dans des recoins non aménagés du bâtiment.
Sur place, les policiers découvriront une véritable discothèque clandestine (piste de danse, lumières, nombreuses platines, frigos vitrés remplis de boissons, ….). Au final ce seront 32 fêtards qui seront verbalisés « Covid » à 250€.
Les fêtards viennent de toute le pays puisque certains sont domiciliés à Bruxelles, Mons, Charleroi mais aussi Namur, Anvers. L’organisateur, domicilié à l’adresse, a également été verbalisé (750€)
Samedi vers 23h50, les équipes d’Intervention et 2 équipes de la BAC (appelées en renfort) ont pénétré sur le terrain où se déroulait la fête.
La musique était audible depuis la rue, une dizaine de véhicules étaient garés à l’arrière du bâtiment et l’on aperçoit à travers les fenêtres des personnes occupées à danser.
Lorsque la douzaine de policiers pénètrent dans le bâtiment quelques fêtards tentent de prendre la fuite alors que d’autres essayent de se dissimuler dans les toilettes ou dans des recoins non aménagés du bâtiment.
Sur place, les policiers découvriront une véritable discothèque clandestine (piste de danse, lumières, nombreuses platines, frigos vitrés remplis de boissons, ….). Au final ce seront 32 fêtards qui seront verbalisés « Covid » à 250€.
Les fêtards viennent de toute le pays puisque certains sont domiciliés à Bruxelles, Mons, Charleroi mais aussi Namur, Anvers. L’organisateur, domicilié à l’adresse, a également été verbalisé (750€)
