Au cours des deux premiers week-ends de décembre, la SNCB, en collaboration avec la police et le service de sécurité Securail, a mené une vaste opération de contrôle des titres de transport. Plus de 570 trains ont été inspectés et 50 000 voyageurs ont été contrôlés, révélant que 7 % d’entre eux n’étaient pas en règle.
Ces contrôles viennent compléter ceux effectués quotidiennement par les accompagnateurs de train et visent à rappeler que chaque voyageur doit posséder un titre valide avant de monter à bord. Toute personne sans ticket risque une amende de 90 euros, pouvant atteindre 500 euros en cas de récidive.
L’opération a mobilisé des équipes mobiles, des accompagnateurs et des agents Securail, ainsi que la police ferroviaire et locale. Cette initiative s’inscrit dans une politique plus large de lutte contre la fraude, un problème qui coûte chaque année plusieurs dizaines de millions d’euros à la SNCB et constitue la principale cause d’agressions contre le personnel.
Les voyageurs saluent ces contrôles supplémentaires, qui améliorent la visibilité des équipes de sécurité et renforcent le sentiment de sécurité dans les trains. La SNCB annonce que ce type d’action sera renouvelé régulièrement en 2026.
Au cours des deux premiers week-ends de décembre, la SNCB, en collaboration avec la police et le service de sécurité Securail, a mené une vaste opération de contrôle des titres de transport. Plus de 570 trains ont été inspectés et 50 000 voyageurs ont été contrôlés, révélant que 7 % d’entre eux n’étaient pas en règle.
Ces contrôles viennent compléter ceux effectués quotidiennement par les accompagnateurs de train et visent à rappeler que chaque voyageur doit posséder un titre valide avant de monter à bord. Toute personne sans ticket risque une amende de 90 euros, pouvant atteindre 500 euros en cas de récidive.
L’opération a mobilisé des équipes mobiles, des accompagnateurs et des agents Securail, ainsi que la police ferroviaire et locale. Cette initiative s’inscrit dans une politique plus large de lutte contre la fraude, un problème qui coûte chaque année plusieurs dizaines de millions d’euros à la SNCB et constitue la principale cause d’agressions contre le personnel.
Les voyageurs saluent ces contrôles supplémentaires, qui améliorent la visibilité des équipes de sécurité et renforcent le sentiment de sécurité dans les trains. La SNCB annonce que ce type d’action sera renouvelé régulièrement en 2026.
