Du 7 novembre 2025 au 1er mars 2026, la Maison Losseau à Mons accueille l’exposition Bords Perdus de l’artiste plasticienne Marie Bonnin.
Réalisée dans le cadre de l’initiative européenne « L’Art Nouveau comme nouvelle EUtopia », cette exposition est le fruit d’une résidence de recherche menée autour des archives de Léon Losseau, et plus particulièrement de celles liées à son jardin.
Marie Bonnin, dont le travail explore l’image imprimée et la contemplation de la nature, s’est inspirée des correspondances qui évoquent la conception du jardin, influencé par Jules Buyssens, grand nom de l’art des jardins en Belgique.
Fascinée par la rigueur de l’archivage de Losseau, elle propose une restitution poétique : un « jardin fantasmé », où les « bords perdus » deviennent un espace d’expérimentation et de liberté.
Les œuvres mêlent impressions, transparences et flous. Elles invitent à la rêverie et au dialogue entre passé et imaginaire. L’exposition inclut aussi une intervention dans le bureau historique et la projection du film L’acte d’habiter d’Alexandre Humbert.
Du 7 novembre 2025 au 1er mars 2026, la Maison Losseau à Mons accueille l’exposition Bords Perdus de l’artiste plasticienne Marie Bonnin.
Réalisée dans le cadre de l’initiative européenne « L’Art Nouveau comme nouvelle EUtopia », cette exposition est le fruit d’une résidence de recherche menée autour des archives de Léon Losseau, et plus particulièrement de celles liées à son jardin.
Marie Bonnin, dont le travail explore l’image imprimée et la contemplation de la nature, s’est inspirée des correspondances qui évoquent la conception du jardin, influencé par Jules Buyssens, grand nom de l’art des jardins en Belgique.
Fascinée par la rigueur de l’archivage de Losseau, elle propose une restitution poétique : un « jardin fantasmé », où les « bords perdus » deviennent un espace d’expérimentation et de liberté.
Les œuvres mêlent impressions, transparences et flous. Elles invitent à la rêverie et au dialogue entre passé et imaginaire. L’exposition inclut aussi une intervention dans le bureau historique et la projection du film L’acte d’habiter d’Alexandre Humbert.