Le réseau TEC est perturbé ce mardi dans la province du Hainaut, en particulier dans la région de Mons.
Ces perturbations font suite à un mouvement de grève déclenché après l’agression, la veille, d’un chauffeur de bus à Nimy.
Un conducteur de bus du TEC a en effet été agressé lundi à Nimy, dans l’entité de Mons, pour avoir « rappelé à un passager l’obligation de se munir d’un titre de transport ». À la suite de cet incident, un mouvement de grève spontané a débuté mardi matin dans la région de Mons-Borinage.
Le dépôt de Mons est particulièrement touché : seuls 20 % des voyages y sont assurés. Les perturbations sont moindres au dépôt d’Eugies, où 80 % des trajets sont maintenus. Pour l’instant, le mouvement de grève n’affecte pas la circulation des bus dans le reste du Hainaut.
Le TEC invite les usagers à consulter les horaires afin de vérifier si leur parcours est bien assuré.
Le réseau TEC est perturbé ce mardi dans la province du Hainaut, en particulier dans la région de Mons.
Ces perturbations font suite à un mouvement de grève déclenché après l’agression, la veille, d’un chauffeur de bus à Nimy.
Un conducteur de bus du TEC a en effet été agressé lundi à Nimy, dans l’entité de Mons, pour avoir « rappelé à un passager l’obligation de se munir d’un titre de transport ». À la suite de cet incident, un mouvement de grève spontané a débuté mardi matin dans la région de Mons-Borinage.
Le dépôt de Mons est particulièrement touché : seuls 20 % des voyages y sont assurés. Les perturbations sont moindres au dépôt d’Eugies, où 80 % des trajets sont maintenus. Pour l’instant, le mouvement de grève n’affecte pas la circulation des bus dans le reste du Hainaut.
Le TEC invite les usagers à consulter les horaires afin de vérifier si leur parcours est bien assuré.