Ce samedi 21 juin est marqué, notamment, par la journée mondiale de la Sclérose Latérale Amyotrophique (SLA).
Il s’agit en fait du nom scientifique de la maladie de Charcot. La SLA est une maladie neurodégénérative rare mais grave.
Elle se caractérise par une perte progressive des cellules nerveuses responsables de la commande des muscles volontaires. La maladie se manifeste par une faiblesse musculaire, des crampes ou des tremblements, des difficultés à parler, à avaler ou à respirer, et par une raideur musculaire qui conduit progressivement à une paralysie musculaire.
La survie n’est généralement que de 3 ou 4 ans après le début des symptômes, le plus souvent par insuffisance respiratoire. Mais 10% des patients peuvent tout de même vivre plus de 10 ans avec cette maladie, comme ce fut le cas pour Stephen Hawking.
La SLA touche en moyenne un homme sur 350, et une femme sur 400. En Belgique, environ 1 000 personnes sont atteintes de la maladie, et, chaque année, on pose le diagnostic chez 100 à 250 nouvelles personnes. Le pic d’incidence de la maladie se situe entre 50 et 75 ans.
Ce samedi 21 juin est marqué, notamment, par la journée mondiale de la Sclérose Latérale Amyotrophique (SLA).
Il s’agit en fait du nom scientifique de la maladie de Charcot. La SLA est une maladie neurodégénérative rare mais grave.
Elle se caractérise par une perte progressive des cellules nerveuses responsables de la commande des muscles volontaires. La maladie se manifeste par une faiblesse musculaire, des crampes ou des tremblements, des difficultés à parler, à avaler ou à respirer, et par une raideur musculaire qui conduit progressivement à une paralysie musculaire.
La survie n’est généralement que de 3 ou 4 ans après le début des symptômes, le plus souvent par insuffisance respiratoire. Mais 10% des patients peuvent tout de même vivre plus de 10 ans avec cette maladie, comme ce fut le cas pour Stephen Hawking.
La SLA touche en moyenne un homme sur 350, et une femme sur 400. En Belgique, environ 1 000 personnes sont atteintes de la maladie, et, chaque année, on pose le diagnostic chez 100 à 250 nouvelles personnes. Le pic d’incidence de la maladie se situe entre 50 et 75 ans.
