Depuis le 12 juin, la SOFICO procède aux réparations urgentes, suite au soulèvement de chaussée, constaté sur toute la largeur de l’E42/A16, à hauteur de Maubray en direction de Mons.
La fin du chantier est prévue pour ce mercredi 25 juin, soit quelques jours avant l’échéance initialement annoncée.
En effet, les températures élevées, qui ont empêché de mener les réparations à l’aide de béton. La SOFICO a donc opté pour l’hydrocarboné. Cette adaptation de la méthode d’intervention permet ainsi de libérer totalement les voies avec quelques jours d’avance. Cette zone restera néanmoins sous surveillance des équipes.
Pour rappel, jusqu’au mercredi 25 juin avant l’heure de pointe du matin : la circulation sur l’E42/A16 à hauteur de Maubray, en direction de Mons, se fait sur une bande avec une vitesse maximale limitée à 50 km/h.
La détérioration, qui s’est manifestée sur toute la largeur de la voirie, n’est pas en lien avec les fortes chaleurs. Et la situation reste sous contrôle : des auscultations et carottages pratiqués sur l’axe, à proximité, ne laissent pas présager la formation d’autres dégradations de ce type.
Depuis le 12 juin, la SOFICO procède aux réparations urgentes, suite au soulèvement de chaussée, constaté sur toute la largeur de l’E42/A16, à hauteur de Maubray en direction de Mons.
La fin du chantier est prévue pour ce mercredi 25 juin, soit quelques jours avant l’échéance initialement annoncée.
En effet, les températures élevées, qui ont empêché de mener les réparations à l’aide de béton. La SOFICO a donc opté pour l’hydrocarboné. Cette adaptation de la méthode d’intervention permet ainsi de libérer totalement les voies avec quelques jours d’avance. Cette zone restera néanmoins sous surveillance des équipes.
Pour rappel, jusqu’au mercredi 25 juin avant l’heure de pointe du matin : la circulation sur l’E42/A16 à hauteur de Maubray, en direction de Mons, se fait sur une bande avec une vitesse maximale limitée à 50 km/h.
La détérioration, qui s’est manifestée sur toute la largeur de la voirie, n’est pas en lien avec les fortes chaleurs. Et la situation reste sous contrôle : des auscultations et carottages pratiqués sur l’axe, à proximité, ne laissent pas présager la formation d’autres dégradations de ce type.
