Inventé il y a deux cents ans par le Français Louis Braille, lui-même aveugle, cet alphabet, composé de petits rectangles divisés en deux colonnes de trois points en relief, s’est répandu en Belgique dès 1836.
Bien que l’apparition des nouvelles technologies ait progressivement réduit son usage, le braille reste un outil essentiel pour l’intégration sociale des personnes malvoyantes et leur accès à la culture.
C’est dans cette optique que la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) a décidé d’inscrire le braille à son patrimoine culturel immatériel, afin de préserver et promouvoir cet héritage unique.
Cette reconnaissance officielle contribuera à sensibiliser les pouvoirs publics et le grand public à l’importance de ce système d’écriture, garant de l’autonomie et de l’inclusion.
Inventé il y a deux cents ans par le Français Louis Braille, lui-même aveugle, cet alphabet, composé de petits rectangles divisés en deux colonnes de trois points en relief, s’est répandu en Belgique dès 1836.
Bien que l’apparition des nouvelles technologies ait progressivement réduit son usage, le braille reste un outil essentiel pour l’intégration sociale des personnes malvoyantes et leur accès à la culture.
C’est dans cette optique que la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) a décidé d’inscrire le braille à son patrimoine culturel immatériel, afin de préserver et promouvoir cet héritage unique.
Cette reconnaissance officielle contribuera à sensibiliser les pouvoirs publics et le grand public à l’importance de ce système d’écriture, garant de l’autonomie et de l’inclusion.