La saison des pollens de graminées, qui s’étend habituellement de mai à juillet avec un pic durant le mois de juin, a commencé.
Les patients ressentent généralement les premiers symptômes lorsque le seuil des 50 grains par mètre cube est dépassé.
L’évolution de ces concentrations peut être suivie sur le site du réseau belge de surveillance des pollens et des spores fongiques, AirAllergy.
Les symptômes d’une allergie au pollen peuvent ressembler à ceux d’autres maladies comme le COVID-19, le rhume ou la grippe.
Si l’allergie peut provoquer des éternuements, des rougeurs aux yeux, un encombrement du nez et des sinus, voire une perte du goût et de l’odorat, elle ne s’accompagne pas de fièvre ni de douleurs musculaires.
Les symptômes apparaissent dès l’exposition à l’allergène et peuvent persister pendant plusieurs semaines.
Sciensano invite donc les personnes ayant un doute sur leur état de santé, souffrant d’allergies nécessitant un traitement de fond ou d’asthme, à consulter leur médecin généraliste ou un allergologue.
Pour limiter les désagréments, il est recommandé :
La saison des pollens de graminées, qui s’étend habituellement de mai à juillet avec un pic durant le mois de juin, a commencé.
Les patients ressentent généralement les premiers symptômes lorsque le seuil des 50 grains par mètre cube est dépassé.
L’évolution de ces concentrations peut être suivie sur le site du réseau belge de surveillance des pollens et des spores fongiques, AirAllergy.
Les symptômes d’une allergie au pollen peuvent ressembler à ceux d’autres maladies comme le COVID-19, le rhume ou la grippe.
Si l’allergie peut provoquer des éternuements, des rougeurs aux yeux, un encombrement du nez et des sinus, voire une perte du goût et de l’odorat, elle ne s’accompagne pas de fièvre ni de douleurs musculaires.
Les symptômes apparaissent dès l’exposition à l’allergène et peuvent persister pendant plusieurs semaines.
Sciensano invite donc les personnes ayant un doute sur leur état de santé, souffrant d’allergies nécessitant un traitement de fond ou d’asthme, à consulter leur médecin généraliste ou un allergologue.
Pour limiter les désagréments, il est recommandé :