Les syndicats manifesteront ce jeudi notamment devant la Banque nationale pour obtenir un accord interprofessionnel juste. Une marge salariale plafonnée à 0,4% pour les deux prochaines années n’est ni suffisante, ni justifiée », selon la FGTB, la CGSLB et la CSC, qui évoquent une « véritable gifle » envers les travailleurs et travailleuses. Les militants feront donc un maximum de bruit, ce jeudi sur le coup de 10h, pour faire entendre leur colère, tout en respectant les mesures sanitaires obligatoires en vigueur.
Ce jeudi aussi, les syndicats FGTB Charleroi-Sud Hainaut et CSC Charleroi – Sambre&Meuse seront dans les rues pour dénoncer les négociations de l’accord interprofessionnel 2021-2022. Négocié tous les deux ans, cet accord entre syndicats et employeurs est discuté depuis décembre mais rien n’avance selon les syndicats. Ils veulent une norme salariale indicative et donc une libre négociation des salaires, une amélioration des régimes de fin de carrières, une augmentation du salaire minimum, des allocations sociales liées à l’évolution des salaires. Pour manifester, ils organiseront trois cortèges en voitures, qui partiront à 10h30 ce 25 février du Biopole de Gosselies, du Colruyt de Gilly et de la Poste du zoning d’Heppignies.
Les syndicats manifesteront ce jeudi notamment devant la Banque nationale pour obtenir un accord interprofessionnel juste. Une marge salariale plafonnée à 0,4% pour les deux prochaines années n’est ni suffisante, ni justifiée », selon la FGTB, la CGSLB et la CSC, qui évoquent une « véritable gifle » envers les travailleurs et travailleuses. Les militants feront donc un maximum de bruit, ce jeudi sur le coup de 10h, pour faire entendre leur colère, tout en respectant les mesures sanitaires obligatoires en vigueur.
Ce jeudi aussi, les syndicats FGTB Charleroi-Sud Hainaut et CSC Charleroi – Sambre&Meuse seront dans les rues pour dénoncer les négociations de l’accord interprofessionnel 2021-2022. Négocié tous les deux ans, cet accord entre syndicats et employeurs est discuté depuis décembre mais rien n’avance selon les syndicats. Ils veulent une norme salariale indicative et donc une libre négociation des salaires, une amélioration des régimes de fin de carrières, une augmentation du salaire minimum, des allocations sociales liées à l’évolution des salaires. Pour manifester, ils organiseront trois cortèges en voitures, qui partiront à 10h30 ce 25 février du Biopole de Gosselies, du Colruyt de Gilly et de la Poste du zoning d’Heppignies.