C’est à la une de l’actualité de ce vendredi : les droits d’importation américains passeront de 5 à 25% pour la bière belge. C’est le ministre des Affaires étrangères Maxime Prévot qui l’a annoncé.
Une décision redoutée par la Brasserie Dupont à Tourpes, dans la commune de Leuze-en-Hainaut. Nous avons contacté son gérant Olivier Dedeycker.
Alors, quelles seront les conséquences pour les brasseries hainuyères ? Nous avons posé la question à Sarah Gurmet de la Brasserie Dubuisson à Pipaix, la plus ancienne brasserie de Wallonie.
Du côté la Brasserie Dupont à Tourpes, on reste globalement optimiste quant aux éventuelles futures évolutions de ces droits d’importation. Mais dans l’immédiat, on s’attend à une légère diminution des ventes.
Cette soudaine flambée des droits d’importation américains vient s’ajouter aux crises successives que les nombreux brasseurs ont déjà traversées, notamment depuis la crise sanitaire, et l’augmentation du coût des matières premières.
Néanmoins, cette augmentation ne devrait pas entraîner de fermetures de brasseries. Selon Olivier Dedeycker, « Il n’y a finalement pas tellement de brasseries belges qui importent de gros volumes aux Etats-Unis ». Un avis partagé par Sarah Gurmet : « On sera un peu moins impactés en Belgique, mais le marché va se faire ressentir aux Etats-Unis ».
C’est à la une de l’actualité de ce vendredi : les droits d’importation américains passeront de 5 à 25% pour la bière belge. C’est le ministre des Affaires étrangères Maxime Prévot qui l’a annoncé.
Une décision redoutée par la Brasserie Dupont à Tourpes, dans la commune de Leuze-en-Hainaut. Nous avons contacté son gérant Olivier Dedeycker.
Alors, quelles seront les conséquences pour les brasseries hainuyères ? Nous avons posé la question à Sarah Gurmet de la Brasserie Dubuisson à Pipaix, la plus ancienne brasserie de Wallonie.
Du côté la Brasserie Dupont à Tourpes, on reste globalement optimiste quant aux éventuelles futures évolutions de ces droits d’importation. Mais dans l’immédiat, on s’attend à une légère diminution des ventes.
Cette soudaine flambée des droits d’importation américains vient s’ajouter aux crises successives que les nombreux brasseurs ont déjà traversées, notamment depuis la crise sanitaire, et l’augmentation du coût des matières premières.
Néanmoins, cette augmentation ne devrait pas entraîner de fermetures de brasseries. Selon Olivier Dedeycker, « Il n’y a finalement pas tellement de brasseries belges qui importent de gros volumes aux Etats-Unis ». Un avis partagé par Sarah Gurmet : « On sera un peu moins impactés en Belgique, mais le marché va se faire ressentir aux Etats-Unis ».