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Le tabac c’est tabou et en dehors du champ de vision
Publié le 1 avril, 2025

A partir de ce mardi, les produits de tabac ne peuvent plus être exposés dans les points de vente selon une modification de la loi relative à la protection de la santé des consommateurs.

Cette interdiction concerne tant les cigarettes que les cigares, les papiers à cigarette, les tabacs à pipe à eau ou les cigarettes électroniques. Et, la vente de ces produits est interdite dans les commerces alimentaires de plus de 400 mètres carrés.

Concrètement, les détaillants doivent cacher les produits dans des tiroirs, des récipients fermés ou derrière des rideaux, des portes coulissantes ou des vitres opaques. Ils ne peuvent pas être mis en avant et ne peuvent être ouverts que par le personnel du magasin. À la demande d’une personne cliente (majeure), seuls les produits demandés lui sont présentés, et les produits non vendus doivent directement être remis en place.

En cas d’infraction, le détaillant peut être puni d’une peine de prison allant d’un mois à un an et d’une amende allant de 2.000 à 800.000 euros.

Le tabac c’est tabou et en dehors du champ de vision
Publié le 1 avril, 2025

A partir de ce mardi, les produits de tabac ne peuvent plus être exposés dans les points de vente selon une modification de la loi relative à la protection de la santé des consommateurs.

Cette interdiction concerne tant les cigarettes que les cigares, les papiers à cigarette, les tabacs à pipe à eau ou les cigarettes électroniques. Et, la vente de ces produits est interdite dans les commerces alimentaires de plus de 400 mètres carrés.

Concrètement, les détaillants doivent cacher les produits dans des tiroirs, des récipients fermés ou derrière des rideaux, des portes coulissantes ou des vitres opaques. Ils ne peuvent pas être mis en avant et ne peuvent être ouverts que par le personnel du magasin. À la demande d’une personne cliente (majeure), seuls les produits demandés lui sont présentés, et les produits non vendus doivent directement être remis en place.

En cas d’infraction, le détaillant peut être puni d’une peine de prison allant d’un mois à un an et d’une amende allant de 2.000 à 800.000 euros.