Le Grand Hôpital de Charleroi lance des consultations psychologiques par téléphone pour tous les patients qui ont été hospitalisés au sein d’une unité COVID ces derniers mois.
Il semble que 20% des malades du Covid-19 ont développé des complications neuropsychiatriques, explique Dr Françoise Verhelst, Chef de Pôle Santé Mentale. Ces problèmes peuvent être liés à différentes causes : l’anxiété, un traumatisme lié à l’hospitalisation, le manque de contact avec la famille.
Ces consultations téléphoniques se feront par Lisa Claudy, psychologue qui était au cœur des unités COVID lors des moments les plus intenses.
Tour à tour, elle appellera chacun des patients. Les spécialistes ressentent déjà une grande détresse psychologique des patients atteints du Covid-19 au moment de leur hospitalisation et cela peut perdurer dans le temps.
Ces coups de téléphone permettront d’alerter les patients sur les différents symptômes existants. « Si un patient présente des symptômes, nous l’orienterons en fonction de ses besoins » détaille Dr Françoise Verhelst, psychiatre au GHdC. Pour le moment, cette démarche se concentrera sur les patients hospitalisés au sein du GHdC qui ont été atteints par la Covid-19 lors de la deuxième vague. Ils sont près de 750 patients depuis le 1er octobre.
Le Grand Hôpital de Charleroi lance des consultations psychologiques par téléphone pour tous les patients qui ont été hospitalisés au sein d’une unité COVID ces derniers mois.
Il semble que 20% des malades du Covid-19 ont développé des complications neuropsychiatriques, explique Dr Françoise Verhelst, Chef de Pôle Santé Mentale. Ces problèmes peuvent être liés à différentes causes : l’anxiété, un traumatisme lié à l’hospitalisation, le manque de contact avec la famille.
Ces consultations téléphoniques se feront par Lisa Claudy, psychologue qui était au cœur des unités COVID lors des moments les plus intenses.
Tour à tour, elle appellera chacun des patients. Les spécialistes ressentent déjà une grande détresse psychologique des patients atteints du Covid-19 au moment de leur hospitalisation et cela peut perdurer dans le temps.
Ces coups de téléphone permettront d’alerter les patients sur les différents symptômes existants. « Si un patient présente des symptômes, nous l’orienterons en fonction de ses besoins » détaille Dr Françoise Verhelst, psychiatre au GHdC. Pour le moment, cette démarche se concentrera sur les patients hospitalisés au sein du GHdC qui ont été atteints par la Covid-19 lors de la deuxième vague. Ils sont près de 750 patients depuis le 1er octobre.
