De 2020 à 2024, près de 27 500 nouveaux donneurs n’ont pas été recrutés.
Alors qu’ils étaient encore 22 500 en 2019, ils n’étaient plus que 17 000 en 2024.
En 2020, 2021 et 2022, de nombreuses collectes n’ont pas pu être organisées. Il était, par exemple, presque impossible de les planifier dans les écoles et entreprises.
Après la crise du Covid, plus de la moitié des étudiants qui donnaient leur sang en milieu scolaire ont terminé leurs études.
De leur côté, de nombreuses entreprises ont instauré le télétravail, réduisant ainsi les opportunités de collectes.
Cette situation explique en partie les difficultés récurrentes rencontrées par le Service du Sang ces dernières années.
Les périodes de congés restent également problématiques, et les réserves ne peuvent être stockées indéfiniment.
La seule solution pour répondre à la demande de plus en plus spécifique des hôpitaux est donc de recruter davantage de donneurs.
De 2020 à 2024, près de 27 500 nouveaux donneurs n’ont pas été recrutés.
Alors qu’ils étaient encore 22 500 en 2019, ils n’étaient plus que 17 000 en 2024.
En 2020, 2021 et 2022, de nombreuses collectes n’ont pas pu être organisées. Il était, par exemple, presque impossible de les planifier dans les écoles et entreprises.
Après la crise du Covid, plus de la moitié des étudiants qui donnaient leur sang en milieu scolaire ont terminé leurs études.
De leur côté, de nombreuses entreprises ont instauré le télétravail, réduisant ainsi les opportunités de collectes.
Cette situation explique en partie les difficultés récurrentes rencontrées par le Service du Sang ces dernières années.
Les périodes de congés restent également problématiques, et les réserves ne peuvent être stockées indéfiniment.
La seule solution pour répondre à la demande de plus en plus spécifique des hôpitaux est donc de recruter davantage de donneurs.
