L’UMONS a franchi une nouvelle étape dans le tri de ses déchets organiques.
Désormais, tous les restes alimentaires accumulés dans les assiettes au sein de ses restaurants universitaires sont aussi collectés afin d’être valorisés. Jusqu’ici, l’UMONS valorisait uniquement les déchets organiques produits par les cuisines de ses restos. Près de 15 m³ de déchets organiques ont été collectés l’an dernier. La quantité supplémentaire de déchets récoltée par ce tri dans les assiettes est estimée à 2,4 tonnes par an.
Ces déchets organiques sont ensuite valorisés par biométhanisation afin de produire du méthane. Ce méthane pourra, à son tour, être transformé en électricité et le résidu de la fermentation sera valorisé dans l’agriculture et l’horticulture.
L’UMONS a franchi une nouvelle étape dans le tri de ses déchets organiques.
Désormais, tous les restes alimentaires accumulés dans les assiettes au sein de ses restaurants universitaires sont aussi collectés afin d’être valorisés. Jusqu’ici, l’UMONS valorisait uniquement les déchets organiques produits par les cuisines de ses restos. Près de 15 m³ de déchets organiques ont été collectés l’an dernier. La quantité supplémentaire de déchets récoltée par ce tri dans les assiettes est estimée à 2,4 tonnes par an.
Ces déchets organiques sont ensuite valorisés par biométhanisation afin de produire du méthane. Ce méthane pourra, à son tour, être transformé en électricité et le résidu de la fermentation sera valorisé dans l’agriculture et l’horticulture.