«Joker Folie à deux»
Il semblait vraiment difficile de donner une suite au formidable « Joker » de Todd Phillips qui valut à Joachim Phoenix un oscar du meilleur acteur en 2020. Pourtant, 5 ans après, le réalisateur réussit encore à surprendre en reconsidérant son personnage et en le plongeant notamment dans une folle histoire d’amour qui lui fait, un certain temps, retrouver une part d’humanité et une éphémère plénitude.
Arthur Fleck est donc incarcéré à Gotham City en attente du son procès pour les crimes commis sous les traits du Joker. Son avocate Maryanne Stewart, cherche à le faire interner en prouvant qu’il est schizophrène.
Dans une autre aile de la prison où il est assigné à un cours de chant, il rencontre Lee, qui a grandi dans le même quartier que lui et a été internée par son père.
Ils tombent follement amoureux. Ils essaient de profiter d’une émeute pour fuir mais ils sont repris. Arthur est placé à l’isolement mais Lee obtient de lui rendre visite et ils couchent ensemble. Commence alors un étrange jeu de dupes et de pouvoir entre les deux amant qui ne sont peut-être pas ce qu’ils prétendent être l’un face à l’autre.
D’un côté, Arthur Fleck, toujours étourdi par la figure fascinante du Joker, de l’autre Lee qui affirme être la seule capable de comprendre l’âme tourmentée de l’anti-héros.
C’est un film dingue, à la fois fascinant, violent, romantique, sombre, avec aussi l’insertion de séquences chantées et même de véritables tableaux, comme dans les grandes comédies musicales.
Qu’est donc « Joker : folie à deux » ? Un drame psychologique, une tragédie amoureuse, une comédie musicale hors norme, … mais on y retrouve aussi en filigrane les relents de l’analyse politique et sociale proposée par Todd Philipps dans le premier film.
Tout à l’air déjanté, délirant mais on est bouleversé. Joachim Phoenix est à nouveau totalement captivant et Lady Gaga à la fois subtile et envoûtante.
André CEUTERICK
«Joker Folie à deux»
Il semblait vraiment difficile de donner une suite au formidable « Joker » de Todd Phillips qui valut à Joachim Phoenix un oscar du meilleur acteur en 2020. Pourtant, 5 ans après, le réalisateur réussit encore à surprendre en reconsidérant son personnage et en le plongeant notamment dans une folle histoire d’amour qui lui fait, un certain temps, retrouver une part d’humanité et une éphémère plénitude.
Arthur Fleck est donc incarcéré à Gotham City en attente du son procès pour les crimes commis sous les traits du Joker. Son avocate Maryanne Stewart, cherche à le faire interner en prouvant qu’il est schizophrène.
Dans une autre aile de la prison où il est assigné à un cours de chant, il rencontre Lee, qui a grandi dans le même quartier que lui et a été internée par son père.
Ils tombent follement amoureux. Ils essaient de profiter d’une émeute pour fuir mais ils sont repris. Arthur est placé à l’isolement mais Lee obtient de lui rendre visite et ils couchent ensemble. Commence alors un étrange jeu de dupes et de pouvoir entre les deux amant qui ne sont peut-être pas ce qu’ils prétendent être l’un face à l’autre.
D’un côté, Arthur Fleck, toujours étourdi par la figure fascinante du Joker, de l’autre Lee qui affirme être la seule capable de comprendre l’âme tourmentée de l’anti-héros.
C’est un film dingue, à la fois fascinant, violent, romantique, sombre, avec aussi l’insertion de séquences chantées et même de véritables tableaux, comme dans les grandes comédies musicales.
Qu’est donc « Joker : folie à deux » ? Un drame psychologique, une tragédie amoureuse, une comédie musicale hors norme, … mais on y retrouve aussi en filigrane les relents de l’analyse politique et sociale proposée par Todd Philipps dans le premier film.
Tout à l’air déjanté, délirant mais on est bouleversé. Joachim Phoenix est à nouveau totalement captivant et Lady Gaga à la fois subtile et envoûtante.
André CEUTERICK
