Il s’agit d’un des plus vieux bâtiments montois, la Chapelle Sainte-Marguerite, aussi appelée Attacat. Une étape supplémentaire vient d’être franchie avec le lancement du marché de désignation d’un porteur de projet. Celui-ci aura pour mission de donner un second souffle à cette vieille bâtisse (dont les origines remontent au 13ème siècle) qui fut léguée par le chanoine Edmond Puissant à la Ville.
Fermé depuis plus de 20 ans, l’Attacat se détériorait de façon préoccupante. Une première phase visant la stabilisation de la Chapelle située à la rue des Sars a donc été menée (il y a quelques mois). A présent, la restauration des éléments de toiture et la pose d’étançons permettent de conserver le bâtiment au sec et de sécuriser le pavillon ainsi que le corps principal (qui menaçaient de s’écrouler).
La phase de réhabilitation peut donc maintenant débuter, avec la désignation d’un auteur de projet.
L‘orientation que la ville souhaite donner entre en résonance avec la dimension spirituelle du lieu qui abrite une chapelle et un cimetière.
Ainsi, à bien des égards, le site constitue un écrin de présentation idéal pour le travail de l’artiste montois Anto-Carte. Quand elle n’est pas inspirée par la culture chrétienne, sa peinture se tourne en effet vers la terre autant qu’elle aspire au ciel. Le projet de réhabilitation permettrait la présentation d’un fonds d’œuvres public provenant de la Ville de Mons, de la Province de Hainaut et de la Fédération Wallonie Bruxelles. Cet ensemble serait complété par une collection privée de plus d’une dizaine de tableaux majeurs de l’artiste.
La figure du Chanoine Puissant, extrêmement appréciée des Montois mais aussi reconnu internationalement comme l’un des grands défenseurs de la culture et du patrimoine de la région montoise, jouira d’un espace qui lui sera spécialement consacré.
L’Attacat intègrera ainsi un quartier central comptant déjà la Collégiale Sainte-Waudru, la Chapelle des Ursulines (Artothèque), le musée des arts décoratifs François Duesberg et le Square Roosevelt fraichement rénové.
Crédit photo : P M, C H et P Y
Il s’agit d’un des plus vieux bâtiments montois, la Chapelle Sainte-Marguerite, aussi appelée Attacat. Une étape supplémentaire vient d’être franchie avec le lancement du marché de désignation d’un porteur de projet. Celui-ci aura pour mission de donner un second souffle à cette vieille bâtisse (dont les origines remontent au 13ème siècle) qui fut léguée par le chanoine Edmond Puissant à la Ville.
Fermé depuis plus de 20 ans, l’Attacat se détériorait de façon préoccupante. Une première phase visant la stabilisation de la Chapelle située à la rue des Sars a donc été menée (il y a quelques mois). A présent, la restauration des éléments de toiture et la pose d’étançons permettent de conserver le bâtiment au sec et de sécuriser le pavillon ainsi que le corps principal (qui menaçaient de s’écrouler).
La phase de réhabilitation peut donc maintenant débuter, avec la désignation d’un auteur de projet.
L‘orientation que la ville souhaite donner entre en résonance avec la dimension spirituelle du lieu qui abrite une chapelle et un cimetière.
Ainsi, à bien des égards, le site constitue un écrin de présentation idéal pour le travail de l’artiste montois Anto-Carte. Quand elle n’est pas inspirée par la culture chrétienne, sa peinture se tourne en effet vers la terre autant qu’elle aspire au ciel. Le projet de réhabilitation permettrait la présentation d’un fonds d’œuvres public provenant de la Ville de Mons, de la Province de Hainaut et de la Fédération Wallonie Bruxelles. Cet ensemble serait complété par une collection privée de plus d’une dizaine de tableaux majeurs de l’artiste.
La figure du Chanoine Puissant, extrêmement appréciée des Montois mais aussi reconnu internationalement comme l’un des grands défenseurs de la culture et du patrimoine de la région montoise, jouira d’un espace qui lui sera spécialement consacré.
L’Attacat intègrera ainsi un quartier central comptant déjà la Collégiale Sainte-Waudru, la Chapelle des Ursulines (Artothèque), le musée des arts décoratifs François Duesberg et le Square Roosevelt fraichement rénové.
Crédit photo : P M, C H et P Y