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EpiCURA / UMons : une étude sur l’incapacité des jeunes à… roter !
Publié le 10 juillet, 2024

EpiCURA et l’Université de Mons ont annoncé ce mercredi 10 juillet, le lancement d’une nouvelle étude, portant sur l’incapacité de roter chez les jeunes. Une maladie en effet peu diagnostiquée jusqu’à présent.

Une première étude réalisée en 2019, a mis en lumière ce syndrome qui affecte principalement les adolescents et jeunes adultes. Ces patients éprouvent des difficultés à expulser les gaz accumulés dans l’œsophage après les repas, en particulier après la consommation de boissons gazeuses. Cette incapacité entraîne bien souvent des symptômes tels que des bruits thoraciques, des ballonnements, des douleurs thoraciques ou encore des flatulences persistantes.

La collaboration entre EpiCURA, l’UMONS et l’Hôpital Foch de Paris a permis de récolter les données de 895 cas. Il s’avère que la majorité des patients diagnostiquent eux-mêmes leurs symptômes via des forums en ligne, qu’il peut exister une prédisposition familiale, et qu’une injection de toxine botulique peut s’avérer efficace. Une étude approfondie vient d’être lancée pour mieux comprendre cette maladie et à améliorer la prise en charge des patients concernés.

EpiCURA / UMons : une étude sur l’incapacité des jeunes à… roter !
Publié le 10 juillet, 2024

EpiCURA et l’Université de Mons ont annoncé ce mercredi 10 juillet, le lancement d’une nouvelle étude, portant sur l’incapacité de roter chez les jeunes. Une maladie en effet peu diagnostiquée jusqu’à présent.

Une première étude réalisée en 2019, a mis en lumière ce syndrome qui affecte principalement les adolescents et jeunes adultes. Ces patients éprouvent des difficultés à expulser les gaz accumulés dans l’œsophage après les repas, en particulier après la consommation de boissons gazeuses. Cette incapacité entraîne bien souvent des symptômes tels que des bruits thoraciques, des ballonnements, des douleurs thoraciques ou encore des flatulences persistantes.

La collaboration entre EpiCURA, l’UMONS et l’Hôpital Foch de Paris a permis de récolter les données de 895 cas. Il s’avère que la majorité des patients diagnostiquent eux-mêmes leurs symptômes via des forums en ligne, qu’il peut exister une prédisposition familiale, et qu’une injection de toxine botulique peut s’avérer efficace. Une étude approfondie vient d’être lancée pour mieux comprendre cette maladie et à améliorer la prise en charge des patients concernés.