L’Unité de Valorisation Énergétique de Thumaide a un intérêt d’utilité publique dans la gestion des déchets hospitaliers B1 (déchets non-infectieux) et B2 (déchets du COVID et autres déchets infectieux).
L’UVE de Thumaide est même le seul site en Wallonie autorisé à traiter les déchets hospitaliers B2, dont ceux produits lors de la crise “COVID”, en respectant des normes sanitaires et environnementales. La quantité de déchets hospitaliers de type B2 produites par les hôpitaux a très fortement augmenté depuis 2020, passant de 6.945 tonnes à 8.579 tonnes en 2020.
IPALLE s’attendait à une diminution de production après la crise mais la forte production semble perdurer. En 2023, c’est encore 8.526 tonnes de déchets hospitaliers de type B2 qui ont dû trouver une filière de gestion performante.
Une régularisation administrative vient est lancée par l intercommunale.
Le permis actuel est fixé à 8.000 tonnes par an. Pendant la crise COVID, IPALLE a bénéficié d’une dérogation pour gérer l’ensemble des déchets livrés par les hôpitaux. Au vu du maintien de la quantité produite, l’administration a sollicité la régularisation administrative de la situation. IPALLE a donc introduit une demande d’autorisation de traiter 9.950 tonnes de déchets hospitaliers de type B2 par an, ce qui correspond au plafond renseigné par le secteur.
L’Unité de Valorisation Énergétique de Thumaide a un intérêt d’utilité publique dans la gestion des déchets hospitaliers B1 (déchets non-infectieux) et B2 (déchets du COVID et autres déchets infectieux).
L’UVE de Thumaide est même le seul site en Wallonie autorisé à traiter les déchets hospitaliers B2, dont ceux produits lors de la crise “COVID”, en respectant des normes sanitaires et environnementales. La quantité de déchets hospitaliers de type B2 produites par les hôpitaux a très fortement augmenté depuis 2020, passant de 6.945 tonnes à 8.579 tonnes en 2020.
IPALLE s’attendait à une diminution de production après la crise mais la forte production semble perdurer. En 2023, c’est encore 8.526 tonnes de déchets hospitaliers de type B2 qui ont dû trouver une filière de gestion performante.
Une régularisation administrative vient est lancée par l intercommunale.
Le permis actuel est fixé à 8.000 tonnes par an. Pendant la crise COVID, IPALLE a bénéficié d’une dérogation pour gérer l’ensemble des déchets livrés par les hôpitaux. Au vu du maintien de la quantité produite, l’administration a sollicité la régularisation administrative de la situation. IPALLE a donc introduit une demande d’autorisation de traiter 9.950 tonnes de déchets hospitaliers de type B2 par an, ce qui correspond au plafond renseigné par le secteur.
