Le Parc national de l’Entre-Sambre-et-Meuse vient d’annoncer les premières naissances et couvaisons dans ses dispositifs d’aide à la nidification à l’étang de Virelles dans la commune de Chimay.
Une nouvelle corbeille de nidification avait été posée en 2023 et deux plus anciennes ont été regarnies avec des branchages. Cette année, une troisième corbeille a été posée sur le toit du bâtiment principal. Le but de cette action est de soutenir trois espèces d’oiseaux remarquables, dont la cigogne blanche. « Les cigognes blanches font un retour remarqué dans la vallée de l’Eau Blanche« , selon Lucas Contino, chargé de la pose et du suivi des aides à la nidification du Parc national ESEM.
Parmi les espèces observées, des cigogneaux. « Il y a de fortes chances que le couple revienne les prochaines années ». Ont également été observés : un couple de sternes pierregarin, oiseaux aux ailes acérées et pêcheurs aux prouesses spectaculaires, qui semblent en train de couver sur un radeau. Les amateurs d’oiseaux rares peuvent aussi admirer le pygargue à queue blanche, un aigle pêcheur qui a déjà été observé à 88 reprises depuis le début de cette année.
Mais l’espèce la plus attendue par les ornithologues, c’est le balbuzard pêcheur, un rapace emblématique des zones humides. Les chances de fêter une nidification du rapace sont limitées, mais le parc garde espoir. Selon son équipe, l’espèce n’a plus niché en Belgique depuis un siècle !
Le Parc national de l’Entre-Sambre-et-Meuse vient d’annoncer les premières naissances et couvaisons dans ses dispositifs d’aide à la nidification à l’étang de Virelles dans la commune de Chimay.
Une nouvelle corbeille de nidification avait été posée en 2023 et deux plus anciennes ont été regarnies avec des branchages. Cette année, une troisième corbeille a été posée sur le toit du bâtiment principal. Le but de cette action est de soutenir trois espèces d’oiseaux remarquables, dont la cigogne blanche. « Les cigognes blanches font un retour remarqué dans la vallée de l’Eau Blanche« , selon Lucas Contino, chargé de la pose et du suivi des aides à la nidification du Parc national ESEM.
Parmi les espèces observées, des cigogneaux. « Il y a de fortes chances que le couple revienne les prochaines années ». Ont également été observés : un couple de sternes pierregarin, oiseaux aux ailes acérées et pêcheurs aux prouesses spectaculaires, qui semblent en train de couver sur un radeau. Les amateurs d’oiseaux rares peuvent aussi admirer le pygargue à queue blanche, un aigle pêcheur qui a déjà été observé à 88 reprises depuis le début de cette année.
Mais l’espèce la plus attendue par les ornithologues, c’est le balbuzard pêcheur, un rapace emblématique des zones humides. Les chances de fêter une nidification du rapace sont limitées, mais le parc garde espoir. Selon son équipe, l’espèce n’a plus niché en Belgique depuis un siècle !
