S’il est de bonne tradition d’accompagner les festivités du Doudou par un bon verre, l’établissement « Chez Théo » située dans la rue de la Coupe, qui propose la crème des produits italiens aime recevoir autour de la table.
Chaque mercredi après la Ducasse, clients, derniers fêtards et chambourlettes dégustent un bon spaghetti histoire de se remettre d’une grosse semaine de festivités. Les pâtes sont offertes par la maison. Rencontre avec Miriam Sangiacomo, une amoureuse de bonne cuisine et du folklore.
«Nous accueillons nos clients, les acteurs et même des non-habitués. Le but du jeu est de passer un bon moment avec nous, en famille. On prépare des plats pour 700 participants. On ne compte pas les heures, c’est une tradition. C’est très convivial, chacun évoque la ducasse avec le sourire aux lèvres mais le regard fatigué par les longues soirées de liesse. On mange une bonne assiette de pâtes fraiches sorties des cuisines« .
« Les coups de mains sont nombreux, les commerçants voisins passent monter les tables ou jeter un œil sur la préparation de la sauce tomate qui embaume la rue de la Coupe transformée en salle à manger plein air ».
Miriam et Massimo Di Prima ont un grand coeur. Le folklore c’est aussi cela partager et transmettre autour d’un bon repas.
S’il est de bonne tradition d’accompagner les festivités du Doudou par un bon verre, l’établissement « Chez Théo » située dans la rue de la Coupe, qui propose la crème des produits italiens aime recevoir autour de la table.
Chaque mercredi après la Ducasse, clients, derniers fêtards et chambourlettes dégustent un bon spaghetti histoire de se remettre d’une grosse semaine de festivités. Les pâtes sont offertes par la maison. Rencontre avec Miriam Sangiacomo, une amoureuse de bonne cuisine et du folklore.
«Nous accueillons nos clients, les acteurs et même des non-habitués. Le but du jeu est de passer un bon moment avec nous, en famille. On prépare des plats pour 700 participants. On ne compte pas les heures, c’est une tradition. C’est très convivial, chacun évoque la ducasse avec le sourire aux lèvres mais le regard fatigué par les longues soirées de liesse. On mange une bonne assiette de pâtes fraiches sorties des cuisines« .
« Les coups de mains sont nombreux, les commerçants voisins passent monter les tables ou jeter un œil sur la préparation de la sauce tomate qui embaume la rue de la Coupe transformée en salle à manger plein air ».
Miriam et Massimo Di Prima ont un grand coeur. Le folklore c’est aussi cela partager et transmettre autour d’un bon repas.
