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Les étudiants de Saint-Luc ont réalisé des fresques sur le pont de l’autoroute à Froyennes
Publié le 22 avril, 2024

Vous les avez peut-être remarquées : de nouvelles couleurs parent les colonnes du pont de Froyennes sur l’E42/A8.

Derrière ce projet artistique : 40 étudiants de l’école St-Luc Ramegnies-Chin ont été conviés, sur proposition du bourgmestre de Tournai, Paul-Olivier Delannois, à réaliser des fresques sur les piliers soutenant le pont, situé à quelques pas. Encadrés par l’équipe éducative, les élèves ont retroussé leurs manches, sorti les bombes de peintures et les pinceaux, et ont mis du cœur à l’ouvrage… « Lorsque quelque chose est beau, on s’y attaque beaucoup moins. » Paul-Olivier Delannois, bourgmestre de Tournai, au micro Sud Radio de Louis Liévin.

Les élèves ont travaillé, en binôme, chacun sur l’un des 20 piliers du pont. Leur mission était d’utiliser les 3 mètres de haut et 80 cm de large pour y réaliser un « totem« . Force est de constater que les jeunes n’ont pas manqué d’inspiration ! Seule contrainte : utiliser des couleurs vives pour égayer l’endroit, attirer l’attention des automobilistes, et, qui sait, les faire ralentir un peu ! Pour Xavier Cabo, chef des travaux à l’école Saint-Luc, « C’est une façon de rendre un lieu un peu plus magique, par rapport au béton noirci et sali. »

Pour reproduire sur « grand format » les dessins qu’ils ont imaginés en classe, les étudiants ont pu s’appuyer sur les précieux conseils de « Farm Prod« , un collectif actif depuis plus de 20 ans dans la peinture et le muralisme sur la scène belge. Pour Arnaud Debal, illustrateur-peintre, membre de Farm Prod, « l’art est essentiel au développement personnel et améliore l’esthétique d’une ville ».

Tous espèrent que ces fresques résisteront à l’épreuve du temps. D’autres pourraient prochainement voir le jour à Tournai : le bourgmestre et le personnel de Saint-Luc comptent mener d’autres projets artistiques dans la commune et ses villages. « Les écoles peuvent faire ce projet au rythme qu’elles souhaitent, mais le résultat final est toujours très réjouissant », conclut Paul-Olivier Delannois.

Quelques totems en images !

Les étudiants de Saint-Luc ont réalisé des fresques sur le pont de l’autoroute à Froyennes
Publié le 22 avril, 2024

Vous les avez peut-être remarquées : de nouvelles couleurs parent les colonnes du pont de Froyennes sur l’E42/A8.

Derrière ce projet artistique : 40 étudiants de l’école St-Luc Ramegnies-Chin ont été conviés, sur proposition du bourgmestre de Tournai, Paul-Olivier Delannois, à réaliser des fresques sur les piliers soutenant le pont, situé à quelques pas. Encadrés par l’équipe éducative, les élèves ont retroussé leurs manches, sorti les bombes de peintures et les pinceaux, et ont mis du cœur à l’ouvrage… « Lorsque quelque chose est beau, on s’y attaque beaucoup moins. » Paul-Olivier Delannois, bourgmestre de Tournai, au micro Sud Radio de Louis Liévin.

Les élèves ont travaillé, en binôme, chacun sur l’un des 20 piliers du pont. Leur mission était d’utiliser les 3 mètres de haut et 80 cm de large pour y réaliser un « totem« . Force est de constater que les jeunes n’ont pas manqué d’inspiration ! Seule contrainte : utiliser des couleurs vives pour égayer l’endroit, attirer l’attention des automobilistes, et, qui sait, les faire ralentir un peu ! Pour Xavier Cabo, chef des travaux à l’école Saint-Luc, « C’est une façon de rendre un lieu un peu plus magique, par rapport au béton noirci et sali. »

Pour reproduire sur « grand format » les dessins qu’ils ont imaginés en classe, les étudiants ont pu s’appuyer sur les précieux conseils de « Farm Prod« , un collectif actif depuis plus de 20 ans dans la peinture et le muralisme sur la scène belge. Pour Arnaud Debal, illustrateur-peintre, membre de Farm Prod, « l’art est essentiel au développement personnel et améliore l’esthétique d’une ville ».

Tous espèrent que ces fresques résisteront à l’épreuve du temps. D’autres pourraient prochainement voir le jour à Tournai : le bourgmestre et le personnel de Saint-Luc comptent mener d’autres projets artistiques dans la commune et ses villages. « Les écoles peuvent faire ce projet au rythme qu’elles souhaitent, mais le résultat final est toujours très réjouissant », conclut Paul-Olivier Delannois.

Quelques totems en images !