Dans le cadre de la remise en service du canal Condé-Pommeroeul, un test de navigabilité et des sondages ont été réalisés par le SPW. Les résultats ne sont pas bons : ils démontrent une accumulation substantielle localisée de sédiments.
Les précipitations importantes de fin 2023 – début 2024 peuvent être la cause du renforcement de ce phénomène. Un phénomène qui limite le tirant d’eau entre l’écluse d’Hensies et le pont de Saint-Aybert à la frontière française. Des travaux complémentaires sur base des résultats des analyses techniques vont donc être entrepris dans les prochaines semaines. Un dragage va être programmé dès la mi-mars. Ce chantier sera mené conjointement par les équipes de Voies Navigables de France et du SPW Mobilité et Infrastructures.
En attendant, des études et des analyses techniques sont également en cours pour confirmer l’origine de cet envasement. Les premiers résultats de ces études sont attendus dans les prochaines semaines.
Crédit photo : SPW Mobilité et Infrastructures
Dans le cadre de la remise en service du canal Condé-Pommeroeul, un test de navigabilité et des sondages ont été réalisés par le SPW. Les résultats ne sont pas bons : ils démontrent une accumulation substantielle localisée de sédiments.
Les précipitations importantes de fin 2023 – début 2024 peuvent être la cause du renforcement de ce phénomène. Un phénomène qui limite le tirant d’eau entre l’écluse d’Hensies et le pont de Saint-Aybert à la frontière française. Des travaux complémentaires sur base des résultats des analyses techniques vont donc être entrepris dans les prochaines semaines. Un dragage va être programmé dès la mi-mars. Ce chantier sera mené conjointement par les équipes de Voies Navigables de France et du SPW Mobilité et Infrastructures.
En attendant, des études et des analyses techniques sont également en cours pour confirmer l’origine de cet envasement. Les premiers résultats de ces études sont attendus dans les prochaines semaines.
Crédit photo : SPW Mobilité et Infrastructures
