Mission réussie pour l’équipe de Pairi Daiza ! L’an dernier, le parc animalier avait fourni à des scientifiques du Kenya, des ovocytes prélevés sur l’une de ses rhinocéros blancs du sud. Ces ovocytes ont été utilisés pour produire des embryons, implantés en septembre dans une autre rhinocéros blanc du sud sélectionnée comme mère porteuse.
Si la mère porteuse a été retrouvée morte dans une réserve naturelle au Kenya à cause d’une grave intoxication, l’autopsie a révélé qu’elle était porteuse d’un fœtus mâle âgé de 70 jours mesurant 6,4 cm de long. L’analyse de l’ADN de ce fœtus ce mois-ci a confirmé que la gestation résultait bien du transfert d’embryon. C’est une première mondiale qui ouvre la voie à la sauvegarde du rhinocéros blanc du nord, une sous-espèce dont il ne reste plus que deux représentantes à l’échelle mondiale.
La Fondation Pairi Daiza souhaite par ailleurs réaliser le transfert d’embryons du rhinocéros blanc du nord, d’ici deux à trois ans.
Photo : Facebook Pairi Daiza
Mission réussie pour l’équipe de Pairi Daiza ! L’an dernier, le parc animalier avait fourni à des scientifiques du Kenya, des ovocytes prélevés sur l’une de ses rhinocéros blancs du sud. Ces ovocytes ont été utilisés pour produire des embryons, implantés en septembre dans une autre rhinocéros blanc du sud sélectionnée comme mère porteuse.
Si la mère porteuse a été retrouvée morte dans une réserve naturelle au Kenya à cause d’une grave intoxication, l’autopsie a révélé qu’elle était porteuse d’un fœtus mâle âgé de 70 jours mesurant 6,4 cm de long. L’analyse de l’ADN de ce fœtus ce mois-ci a confirmé que la gestation résultait bien du transfert d’embryon. C’est une première mondiale qui ouvre la voie à la sauvegarde du rhinocéros blanc du nord, une sous-espèce dont il ne reste plus que deux représentantes à l’échelle mondiale.
La Fondation Pairi Daiza souhaite par ailleurs réaliser le transfert d’embryons du rhinocéros blanc du nord, d’ici deux à trois ans.
Photo : Facebook Pairi Daiza
