S’il y a bien une fête incontournable à Tournai, le lundi qui suit l’épiphanie, c’est le « Lundi perdu ou parjuré », le troisième réveillon des tournaisiens.
Une tradition qui date mais qui perdure uniquement en Wallonie Picarde mais aussi à Anvers. Jacky Legge, tournaisien de coeur, joint par Geoffrey Ghilmot.
Cette année ce sera pour ce lundi 8 janvier. Une tradition qui trouve son origine dans la célébration du lundi qui suit l’épiphanie. Le travail était arrêté, c’était donc une journée perdue.
Aujourd’hui, si la tradition a évolué, elle se perpétue et on mange ce jour-là ou aux alentours de cette date, du lapin accompagné de la « salade à la tournaisienne ». En début de repas, on tire également les « billets des Rois », afin d’attribuer à chaque convive un rôle déterminé, dont celui de « Roi ». Un jeu plutôt « bibitif » que nous détaille Jacky Legge.
Mais pourquoi mange-t-on du lapin?
« À Tournai, pou bin fair’ ceul’ fiête, l’ceu qui n’a pos d’lapin n’a rien ! »
S’il y a bien une fête incontournable à Tournai, le lundi qui suit l’épiphanie, c’est le « Lundi perdu ou parjuré », le troisième réveillon des tournaisiens.
Une tradition qui date mais qui perdure uniquement en Wallonie Picarde mais aussi à Anvers. Jacky Legge, tournaisien de coeur, joint par Geoffrey Ghilmot.
Cette année ce sera pour ce lundi 8 janvier. Une tradition qui trouve son origine dans la célébration du lundi qui suit l’épiphanie. Le travail était arrêté, c’était donc une journée perdue.
Aujourd’hui, si la tradition a évolué, elle se perpétue et on mange ce jour-là ou aux alentours de cette date, du lapin accompagné de la « salade à la tournaisienne ». En début de repas, on tire également les « billets des Rois », afin d’attribuer à chaque convive un rôle déterminé, dont celui de « Roi ». Un jeu plutôt « bibitif » que nous détaille Jacky Legge.
Mais pourquoi mange-t-on du lapin?
« À Tournai, pou bin fair’ ceul’ fiête, l’ceu qui n’a pos d’lapin n’a rien ! »
