Lors du Conseil Communal qui avait lieu hier à Mons, l’opposition par le biais de Mr Chris Massaki est revenue sur la demande des citoyens de rétablir l’éclairage public la nuit à Mons.
Différentes interventions de l’opposition ont expliqué qu’il n’y avait plus de raison de ne pas remettre l’éclairage publique la nuit, car cette mesure avait été prise lors de l’envol des prix de l’énergie, avec extinction de l’éclairage de 24h à 5h du matin.
« Hors l’énergie est de nouveau à un prix normal, du coup il n’y a plus aucune raison de ne pas remettre l’éclairage nocturne, comme avant la crise de l’énergie« , surenchérit Mr Beugnies.
Cela fait partie des services de base que les montois sont en droit d’attendre de leur administration, comment peut-on fermer les yeux sur la sécurité des montois, autant sur le plan de la protection et de la criminalité que sur le plan du service de base, pour marcher ou rouler avec sécurité il faut à tout le moins voir la route, les trottoirs avec les reliefs et obstacles qui peuvent être rencontrés.
Alors que tous les partis de l’opposition étaient unanimes pour ce rétablissement de l’éclairage publique la nuit, le Bourgmestre de Mons répond que l’économie réalisée sur l’extinction de l’éclairage la nuit pour Mons seul est de l’ordre de 500.000 euros et que pour l’arrondissement de Mons et des 12 communes périphériques l’économie est là de plus de 1,3 million d’euros. Hors il y a des distensions au sein du Collège sur ce point.
« La sécurité des montois est visiblement moins importante aux yeux du Bourgmestre qui consent des dépenses tout au long de l’année pour des jeux et de l’animation, ou encore pour « un festival des lumières » qui est annoncé en janvier avec des budgets exorbitants et ce pour juste quelques jours de prestige », reprenait Georges-Louis Boucher !
La sécurité des montois n’est visiblement pas la priorité du Collège actuel, puisque lors du passage au vote, les partis au pouvoir ont tous voté contre le retour de l’éclairage public.
Lors du Conseil Communal qui avait lieu hier à Mons, l’opposition par le biais de Mr Chris Massaki est revenue sur la demande des citoyens de rétablir l’éclairage public la nuit à Mons.
Différentes interventions de l’opposition ont expliqué qu’il n’y avait plus de raison de ne pas remettre l’éclairage publique la nuit, car cette mesure avait été prise lors de l’envol des prix de l’énergie, avec extinction de l’éclairage de 24h à 5h du matin.
« Hors l’énergie est de nouveau à un prix normal, du coup il n’y a plus aucune raison de ne pas remettre l’éclairage nocturne, comme avant la crise de l’énergie« , surenchérit Mr Beugnies.
Cela fait partie des services de base que les montois sont en droit d’attendre de leur administration, comment peut-on fermer les yeux sur la sécurité des montois, autant sur le plan de la protection et de la criminalité que sur le plan du service de base, pour marcher ou rouler avec sécurité il faut à tout le moins voir la route, les trottoirs avec les reliefs et obstacles qui peuvent être rencontrés.
Alors que tous les partis de l’opposition étaient unanimes pour ce rétablissement de l’éclairage publique la nuit, le Bourgmestre de Mons répond que l’économie réalisée sur l’extinction de l’éclairage la nuit pour Mons seul est de l’ordre de 500.000 euros et que pour l’arrondissement de Mons et des 12 communes périphériques l’économie est là de plus de 1,3 million d’euros. Hors il y a des distensions au sein du Collège sur ce point.
« La sécurité des montois est visiblement moins importante aux yeux du Bourgmestre qui consent des dépenses tout au long de l’année pour des jeux et de l’animation, ou encore pour « un festival des lumières » qui est annoncé en janvier avec des budgets exorbitants et ce pour juste quelques jours de prestige », reprenait Georges-Louis Boucher !
La sécurité des montois n’est visiblement pas la priorité du Collège actuel, puisque lors du passage au vote, les partis au pouvoir ont tous voté contre le retour de l’éclairage public.