Les communes de Jurbise et de Lens avaient répondu à l’appel à projets « infrastructures sportives partagées » lancé par le Gouvernement wallon.
Finalement, la commune de Lens a préféré faire marche arrière mais la commune de Jurbise reste déterminée à concrétiser ce projet. De cette manière, des subsides supplémentaires pourraient être débloqués par la Région wallonne assure-t-on.
Ce nouveau complexe sportif devait répondre à un besoin criant pour les associations sportives mais aussi pour les écoles de Lens et de Jurbise, deux communes voisines.
En octobre 2021, ces dernières avaient décidé de s’unir pour répondre à l’appel à projet Infrastructures sportives partagées. L’objectif était de créer un complexe sportif rassemblant plusieurs sports et accessible pour les sportifs de Lens et Jurbise.
Quelques mois après leur candidature, les deux communes avaient été choisies par le Ministre Adrien Dolimont et pouvaient percevoir un montant de 2 668 050 millions d’euros subsidiés par la Région wallonne pour concrétiser ce projet ambitieux.
Sur 51 associations jurbisiennes et lensoises sondées, 37 avaient marqué leur soutien « avec enthousiasme ».
Finalement, Lens a officiellement fait marche arrière et ne participera plus au projet. La commune voisine de Jurbise voulait revoir le financement du projet 2/3 (Jurbise) – 1/3 (Lens), pourtant voté au préalable par les conseils communaux respectifs :
« Nous regrettons évidemment cette décision, d’autant plus que le nouveau complexe sportif se trouverait à moins d’un kilomètre de la frontière lensoise », souligne Jacqueline Galant, Députée-Bourgmestre de Jurbise.
« C’est une occasion manquée de démontrer que Lens et Jurbise peuvent s’unir, à l’instar d’autres communes, pour offrir de nouveaux services à leurs citoyens. Cette marche arrière n’influence en rien notre motivation et nous réfléchissons à proposer ce projet, seuls, en collaboration avec Infrasports.
Les plans sont là, le dossier est déjà bien ficelé, nous sommes prêts maintenant à proposer une nouvelle candidature », conclut Jacqueline Galant, déterminée.
Les communes de Jurbise et de Lens avaient répondu à l’appel à projets « infrastructures sportives partagées » lancé par le Gouvernement wallon.
Finalement, la commune de Lens a préféré faire marche arrière mais la commune de Jurbise reste déterminée à concrétiser ce projet. De cette manière, des subsides supplémentaires pourraient être débloqués par la Région wallonne assure-t-on.
Ce nouveau complexe sportif devait répondre à un besoin criant pour les associations sportives mais aussi pour les écoles de Lens et de Jurbise, deux communes voisines.
En octobre 2021, ces dernières avaient décidé de s’unir pour répondre à l’appel à projet Infrastructures sportives partagées. L’objectif était de créer un complexe sportif rassemblant plusieurs sports et accessible pour les sportifs de Lens et Jurbise.
Quelques mois après leur candidature, les deux communes avaient été choisies par le Ministre Adrien Dolimont et pouvaient percevoir un montant de 2 668 050 millions d’euros subsidiés par la Région wallonne pour concrétiser ce projet ambitieux.
Sur 51 associations jurbisiennes et lensoises sondées, 37 avaient marqué leur soutien « avec enthousiasme ».
Finalement, Lens a officiellement fait marche arrière et ne participera plus au projet. La commune voisine de Jurbise voulait revoir le financement du projet 2/3 (Jurbise) – 1/3 (Lens), pourtant voté au préalable par les conseils communaux respectifs :
« Nous regrettons évidemment cette décision, d’autant plus que le nouveau complexe sportif se trouverait à moins d’un kilomètre de la frontière lensoise », souligne Jacqueline Galant, Députée-Bourgmestre de Jurbise.
« C’est une occasion manquée de démontrer que Lens et Jurbise peuvent s’unir, à l’instar d’autres communes, pour offrir de nouveaux services à leurs citoyens. Cette marche arrière n’influence en rien notre motivation et nous réfléchissons à proposer ce projet, seuls, en collaboration avec Infrasports.
Les plans sont là, le dossier est déjà bien ficelé, nous sommes prêts maintenant à proposer une nouvelle candidature », conclut Jacqueline Galant, déterminée.