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C’est la semaine de la frite et on kiffe ça!
Publié le 8 novembre, 2023

Avec plus de 4000 producteurs chaque année, la Wallonie produit entre 2 et 2,5 millions de tonnes de pommes de terre, contribuant ainsi pour moitié à l’ensemble de la production nationale. Philippe Mattart de l’Apaq W.

Avant d’atteindre à la friterie du coin, les pommes de terre sont préparées avec soin par des experts de la transformation. Épluchées, découpées et lavées pour retirer l’excès d’amidon, elles sont ensuite séchées. Des étapes cruciales dans le but d’atteindre cette croustillance tant aimée. Comme ici dans l’atelier de transformation de l’entreprise familiale Billouez à Pipaix.

En fin de parcours, la saveur inégalée de la frite belge découle de la maîtrise de l’art de la cuisson. Un processus méticuleux, en double plongeon. Une première immersion, à 140° C pendant environ 7 minutes, poche les frites et élimine l’humidité. Enfin, après un court refroidissement, elles replongent à 170° pour obtenir cette irrésistible croûte dorée. La Friterie en Wallonie, Fritkot à Bruxelles, une véritable tradition qui pourrait prochainement rentrée au patrimoine de l’Unesco.

Ce mercredi peu avant midi, il y avait déjà du monde chez « Robert la Frite à Charleroi » pour déguster une bonne frite. Ici on se fait plaisir comme Belgin de Marcinelle et son amie de passage en ville.

C’est la semaine de la frite et on kiffe ça!
Publié le 8 novembre, 2023

Avec plus de 4000 producteurs chaque année, la Wallonie produit entre 2 et 2,5 millions de tonnes de pommes de terre, contribuant ainsi pour moitié à l’ensemble de la production nationale. Philippe Mattart de l’Apaq W.

Avant d’atteindre à la friterie du coin, les pommes de terre sont préparées avec soin par des experts de la transformation. Épluchées, découpées et lavées pour retirer l’excès d’amidon, elles sont ensuite séchées. Des étapes cruciales dans le but d’atteindre cette croustillance tant aimée. Comme ici dans l’atelier de transformation de l’entreprise familiale Billouez à Pipaix.

En fin de parcours, la saveur inégalée de la frite belge découle de la maîtrise de l’art de la cuisson. Un processus méticuleux, en double plongeon. Une première immersion, à 140° C pendant environ 7 minutes, poche les frites et élimine l’humidité. Enfin, après un court refroidissement, elles replongent à 170° pour obtenir cette irrésistible croûte dorée. La Friterie en Wallonie, Fritkot à Bruxelles, une véritable tradition qui pourrait prochainement rentrée au patrimoine de l’Unesco.

Ce mercredi peu avant midi, il y avait déjà du monde chez « Robert la Frite à Charleroi » pour déguster une bonne frite. Ici on se fait plaisir comme Belgin de Marcinelle et son amie de passage en ville.