Le 10 décembre prochain, la SNCB lancera la première phase de son nouveau plan de transport qui s’étendra de décembre 2023 à décembre 2026. Avec une augmentation de 7,4% de trains-kilomètres sur trois ans, il s’agit du plan de transport le plus ambitieux jamais réalisé, et ce en adéquation avec les ambitions de croissance du Contrat de service public 2023-2032. Les voyageurs peuvent déjà regarder ce qui changera pour eux à partir du 10 décembre prochain sur le planificateur de voyages présent sur le site web et l’app de la SNCB.
Augmentation du nombre de voyageurs de 30% à l’horizon 2030
Avec ce nouveau plan, la SNCB vise une production annuelle de 89,5 millions de trains-kilomètres d’ici 2026, soit plus de 2.000 trains supplémentaires par semaine, dont 720 le week-end. Au total, plus de la moitié des gares (280) proposeront une offre améliorée d’ici 2026. Le nouveau plan de transport de la SNCB vise à stimuler la croissance du nombre de voyageurs en train (+30% à l’horizon 2032), tant pour le segment domicile-travail et domicile-école que pour le segment de loisirs.
L’objectif est de mettre en œuvre ce plan en quatre phases consécutives : décembre 2023, décembre 2024, juin 2025 et décembre 2025. Son déploiement est inextricablement lié aux investissements dans l’infrastructure ferroviaire, au recrutement à grande échelle et à la livraison en temps voulu du nouveau matériel roulant.
A partir du 10 décembre 2023 : plus de trains, tant en semaine que le week-end
Plusieurs gares du pays seront mieux connectées à l’aéroport de Charleroi : une nouvelle relation IC entre Louvain, – Fleurus et Charleroi-Central sera mise en service à raison d’un train par heure, dans les deux sens, 7j/7. Dans et autour de Liège, l’offre suburbaine (offre S) sera également renforcée en semaine.
Dans le même temps, avec l’augmentation du télétravail, quelques trains P très peu fréquentés ne circuleront plus. Il s’agit de trains qui renforcent actuellement l’offre de base durant les heures de pointe et pour lesquels des alternatives dans un délai court existent. Cela permettra de libérer des ressources qui pourront être utilisées de façon plus pertinente et dans des trains où le nombre de voyageurs est en forte augmentation.
Le 10 décembre prochain, la SNCB lancera la première phase de son nouveau plan de transport qui s’étendra de décembre 2023 à décembre 2026. Avec une augmentation de 7,4% de trains-kilomètres sur trois ans, il s’agit du plan de transport le plus ambitieux jamais réalisé, et ce en adéquation avec les ambitions de croissance du Contrat de service public 2023-2032. Les voyageurs peuvent déjà regarder ce qui changera pour eux à partir du 10 décembre prochain sur le planificateur de voyages présent sur le site web et l’app de la SNCB.
Augmentation du nombre de voyageurs de 30% à l’horizon 2030
Avec ce nouveau plan, la SNCB vise une production annuelle de 89,5 millions de trains-kilomètres d’ici 2026, soit plus de 2.000 trains supplémentaires par semaine, dont 720 le week-end. Au total, plus de la moitié des gares (280) proposeront une offre améliorée d’ici 2026. Le nouveau plan de transport de la SNCB vise à stimuler la croissance du nombre de voyageurs en train (+30% à l’horizon 2032), tant pour le segment domicile-travail et domicile-école que pour le segment de loisirs.
L’objectif est de mettre en œuvre ce plan en quatre phases consécutives : décembre 2023, décembre 2024, juin 2025 et décembre 2025. Son déploiement est inextricablement lié aux investissements dans l’infrastructure ferroviaire, au recrutement à grande échelle et à la livraison en temps voulu du nouveau matériel roulant.
A partir du 10 décembre 2023 : plus de trains, tant en semaine que le week-end
Plusieurs gares du pays seront mieux connectées à l’aéroport de Charleroi : une nouvelle relation IC entre Louvain, – Fleurus et Charleroi-Central sera mise en service à raison d’un train par heure, dans les deux sens, 7j/7. Dans et autour de Liège, l’offre suburbaine (offre S) sera également renforcée en semaine.
Dans le même temps, avec l’augmentation du télétravail, quelques trains P très peu fréquentés ne circuleront plus. Il s’agit de trains qui renforcent actuellement l’offre de base durant les heures de pointe et pour lesquels des alternatives dans un délai court existent. Cela permettra de libérer des ressources qui pourront être utilisées de façon plus pertinente et dans des trains où le nombre de voyageurs est en forte augmentation.
