La 45ème session du Comité du Patrimoine mondial de l’Unesco, s’est tenue ce mercredi à Riyad, en Arabie saoudite. Au total 139 sites mémoriels de la Première Guerre Mondiale ont été inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité.
Il y en a 16 en Wallonie, 27 en Flandre et 96 en France.
La proposition d’inscription à l’Unesco des sites funéraires et mémoriels de la Première Guerre Mondiale avait été déposée en 2017, conjointement par la France et la Belgique.
Parmi les 16 sites situés en Wallonie, on peut notamment citer les carrés militaires du cimetière de Robermont, à Liège, le cimetière militaire français de la Belle-Motte, à Aiseau-Presles, l’église de Comines à Comines-Warneton, ou encore le cimetière militaire germano-Commonwealth de Saint-Symphorien, à Mons.
Les Régions wallonne et flamande mettent en avant des « puissants symboles de réconciliation et d’égalité » qui ont été « sélectionnés avec soin pour rendre hommage aux victimes de la Grande Guerre, venues de 130 pays actuels. »
Cette reconnaissance est le fruit d’un travail et d’une collaboration de 20 années entre les administrations wallonne, flamande, française et les gestionnaires des sites.
La 45ème session du Comité du Patrimoine mondial de l’Unesco, s’est tenue ce mercredi à Riyad, en Arabie saoudite. Au total 139 sites mémoriels de la Première Guerre Mondiale ont été inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité.
Il y en a 16 en Wallonie, 27 en Flandre et 96 en France.
La proposition d’inscription à l’Unesco des sites funéraires et mémoriels de la Première Guerre Mondiale avait été déposée en 2017, conjointement par la France et la Belgique.
Parmi les 16 sites situés en Wallonie, on peut notamment citer les carrés militaires du cimetière de Robermont, à Liège, le cimetière militaire français de la Belle-Motte, à Aiseau-Presles, l’église de Comines à Comines-Warneton, ou encore le cimetière militaire germano-Commonwealth de Saint-Symphorien, à Mons.
Les Régions wallonne et flamande mettent en avant des « puissants symboles de réconciliation et d’égalité » qui ont été « sélectionnés avec soin pour rendre hommage aux victimes de la Grande Guerre, venues de 130 pays actuels. »
Cette reconnaissance est le fruit d’un travail et d’une collaboration de 20 années entre les administrations wallonne, flamande, française et les gestionnaires des sites.