À quelques semaines de la rentrée, beaucoup d’étudiants n’ont toujours pas trouvé de kot. Il n’y a pas assez de logements publics et le secteur privé spécule chaque année à la hausse. Résultat : les peu de kots disponibles sont impayables pour les étudiants. En effet, les loyers avoisinent en moyenne 600 euros à Bruxelles.
Cette situation inquiète de plus en plus la Fédération des étudiants francophones, qui réclame qu’un prix maximum soit fixé pour empêcher les propriétaires de commettre des abus. Elle demande aussi à avoir plus de parcs immobiliers publics sur le long terme, pour avoir un vrai contrôle démocratique sur les prix et pouvoir loger les étudiants selon leurs moyens.
Et il y a urgence car d’ici 2030, le nombre d’étudiants en Fédération Wallonie-Bruxelles pourrait augmenter de 20%, mais on estime qu’il manquera au moins 90.000 logements pour tous les accueillir.
À quelques semaines de la rentrée, beaucoup d’étudiants n’ont toujours pas trouvé de kot. Il n’y a pas assez de logements publics et le secteur privé spécule chaque année à la hausse. Résultat : les peu de kots disponibles sont impayables pour les étudiants. En effet, les loyers avoisinent en moyenne 600 euros à Bruxelles.
Cette situation inquiète de plus en plus la Fédération des étudiants francophones, qui réclame qu’un prix maximum soit fixé pour empêcher les propriétaires de commettre des abus. Elle demande aussi à avoir plus de parcs immobiliers publics sur le long terme, pour avoir un vrai contrôle démocratique sur les prix et pouvoir loger les étudiants selon leurs moyens.
Et il y a urgence car d’ici 2030, le nombre d’étudiants en Fédération Wallonie-Bruxelles pourrait augmenter de 20%, mais on estime qu’il manquera au moins 90.000 logements pour tous les accueillir.