Des chercheurs de la KU Leuven ont démontré qu’une combinaison de 2 médicaments déjà existants pouvait rajeunir les cerveaux de certains poissons, mais aussi les protéger contre de futures maladies ou lésions. Cette découverte pourrait avoir un impact sur le traitement de la maladie d’Alzheimer.
Les chercheurs du département de biologie de la KU Leuven ont testé la combinaison de Dasatinib et de Quercetin sur des killis. Il s’agit d’un petit poisson africain qui ne vit que quelques mois car il a la particularité d’avoir un développement accéléré : croissance, maturité sexuelle, mais aussi vieillissement. Les effets sur l’évolution du corps est donc plus vite visible dans le cas du killi.
Le résultat de l’expérience est assez impressionnant puisque ce bref traitement a permis d’éliminer 30 % des cellules sénescentes, de sorte que moins de substances nocives se sont propagées dans le cerveau des poissons. Les plus âgés avaient donc plus de cellules souches en division qui pouvaient se transformer en nouvelles cellules nerveuses, ce qui est nécessaire à la réparation du cerveau après une blessure ou une maladie, comme Alzheimer.
L’utilisation du Dasatinib et du Quercetin est déjà approuvée chez l’être humain mais dans le cadre du traitement d’autres pathologies dans d’autres parties du corps. La combinaison des deux, testée ici sur les poissons, pourrait donc également être approuvée chez l’homme si les tests à venir se révèlent concluants.
Des chercheurs de la KU Leuven ont démontré qu’une combinaison de 2 médicaments déjà existants pouvait rajeunir les cerveaux de certains poissons, mais aussi les protéger contre de futures maladies ou lésions. Cette découverte pourrait avoir un impact sur le traitement de la maladie d’Alzheimer.
Les chercheurs du département de biologie de la KU Leuven ont testé la combinaison de Dasatinib et de Quercetin sur des killis. Il s’agit d’un petit poisson africain qui ne vit que quelques mois car il a la particularité d’avoir un développement accéléré : croissance, maturité sexuelle, mais aussi vieillissement. Les effets sur l’évolution du corps est donc plus vite visible dans le cas du killi.
Le résultat de l’expérience est assez impressionnant puisque ce bref traitement a permis d’éliminer 30 % des cellules sénescentes, de sorte que moins de substances nocives se sont propagées dans le cerveau des poissons. Les plus âgés avaient donc plus de cellules souches en division qui pouvaient se transformer en nouvelles cellules nerveuses, ce qui est nécessaire à la réparation du cerveau après une blessure ou une maladie, comme Alzheimer.
L’utilisation du Dasatinib et du Quercetin est déjà approuvée chez l’être humain mais dans le cadre du traitement d’autres pathologies dans d’autres parties du corps. La combinaison des deux, testée ici sur les poissons, pourrait donc également être approuvée chez l’homme si les tests à venir se révèlent concluants.