C’est un jardin suspendu qui a vu le jour sur les ruines de la maison de Marc Dutroux. Dans ce jardin, des plantes et des arbres ont poussé, hors de portée des passants. Sur le pignon d’une des maisons voisines, la fresque d’un enfant avec son cerf-volant a également fait son apparition.
La date de l’inauguration du jardin n’est pas encore connue. Une réunion avec les familles doit encore être organisée pour déterminer un jour précis.
Pour l’occasion, pas de grande cérémonie. Juste un petit moment de recueillement dans ce lieu, rendu un peu plus beau que le souvenir qu’on en garde.
De la maison de l’horreur, seules restent la cave et la cache où ont été emprisonnées Julie, Melissa, Sabine et Laetita. Il s’agit d’une demande de la part des familles des victimes, dans le cas où des enquêtes devraient encore y être menées. Le sous-sol est désormais protégé par une épaisse dalle de béton pour empêcher toute intrusion.
C’est un jardin suspendu qui a vu le jour sur les ruines de la maison de Marc Dutroux. Dans ce jardin, des plantes et des arbres ont poussé, hors de portée des passants. Sur le pignon d’une des maisons voisines, la fresque d’un enfant avec son cerf-volant a également fait son apparition.
La date de l’inauguration du jardin n’est pas encore connue. Une réunion avec les familles doit encore être organisée pour déterminer un jour précis.
Pour l’occasion, pas de grande cérémonie. Juste un petit moment de recueillement dans ce lieu, rendu un peu plus beau que le souvenir qu’on en garde.
De la maison de l’horreur, seules restent la cave et la cache où ont été emprisonnées Julie, Melissa, Sabine et Laetita. Il s’agit d’une demande de la part des familles des victimes, dans le cas où des enquêtes devraient encore y être menées. Le sous-sol est désormais protégé par une épaisse dalle de béton pour empêcher toute intrusion.