Il y a quelques mois, la Ville de Mons a commandé une importante étude phytosanitaire afin de connaitre l’état de santé de pas moins de 400 arbres répartis sur l’ensemble de son territoire. Ils sont principalement situés dans les écoles communales et en centre-ville.
Le résultat vient de tomber : au total, 11 écoles nécessitent des opérations d’abattage et/ou d’élagage pour des raisons de sécurité. C’est le cas notamment à Achille Legrand, à l’école des Cannoniers, à celles d’Obourg et de Villers-Saint-Ghislain, pour n’en citer que quelques-unes.
Les arbres malades et dangereux seront abattus dans le courant du mois d’aout, de sorte à ne pas perturber la période de nidification qui aura déjà eu lieu.
Globalement, l’étude a révélé que 84% des arbres étudiés sont dans un bon état sanitaire, 12% dans un état moyen et 4% en mauvais état. Les causes sont souvent la dégradation par des agents biologiques (champignons, bactéries, insectes) ou abiotiques (pluie et soleil), des conditions de croissance difficiles ou encore des revêtements du sol inadaptés.
L’étude avait pour objectif de faire un état des lieux de notre patrimoine arboré, de déterminer l’état sanitaire, physiologique et mécanique des arbres, d’estimer leur avenir, les risques de chute ou de rupture et d’étudier leur environnement immédiat. Cet inventaire a été réalisé par des techniciens de l’arbre urbain, sous la supervision d’un bureau d’étude spécialisé.
Il y a quelques mois, la Ville de Mons a commandé une importante étude phytosanitaire afin de connaitre l’état de santé de pas moins de 400 arbres répartis sur l’ensemble de son territoire. Ils sont principalement situés dans les écoles communales et en centre-ville.
Le résultat vient de tomber : au total, 11 écoles nécessitent des opérations d’abattage et/ou d’élagage pour des raisons de sécurité. C’est le cas notamment à Achille Legrand, à l’école des Cannoniers, à celles d’Obourg et de Villers-Saint-Ghislain, pour n’en citer que quelques-unes.
Les arbres malades et dangereux seront abattus dans le courant du mois d’aout, de sorte à ne pas perturber la période de nidification qui aura déjà eu lieu.
Globalement, l’étude a révélé que 84% des arbres étudiés sont dans un bon état sanitaire, 12% dans un état moyen et 4% en mauvais état. Les causes sont souvent la dégradation par des agents biologiques (champignons, bactéries, insectes) ou abiotiques (pluie et soleil), des conditions de croissance difficiles ou encore des revêtements du sol inadaptés.
L’étude avait pour objectif de faire un état des lieux de notre patrimoine arboré, de déterminer l’état sanitaire, physiologique et mécanique des arbres, d’estimer leur avenir, les risques de chute ou de rupture et d’étudier leur environnement immédiat. Cet inventaire a été réalisé par des techniciens de l’arbre urbain, sous la supervision d’un bureau d’étude spécialisé.
