Six années d’un chantier intense s’achèvent désormais dans la cité aux Cinq Clochers. Au terme d’opérations lourdes et pourtant menées avec brio au cœur d’une ville historique, la traversée de Tournai par l’Escaut est donc parée pour la navigation d’aujourd’hui et de demain. Le trafic de fret sur le Haut-Escaut augmente d’ailleurs déjà depuis 2020, signe d’un développement économique réel, et plus respectueux de l’environnement.
Ce chantier, aussi technique qu’impressionnant à de nombreux moments, s’est avant tout révélé une formidable aventure humaine : des défis ont été relevés quotidiennement, grâce à l’implication, les compétences et le talent déployés au quotidien par plus de 900 femmes et hommes. Ouvriers, artisans, employés, fonctionnaires, architectes, ingénieurs, contrôleurs, experts… c’est avant tout le génie humain, la ténacité et le courage qui ont permis de mener à bien ces travaux.
Le trafic fluvial à Tournai est en constante évolution depuis 2020 (environ 6 % de croissance annuelle).
Les zones portuaires gérées par le Port Autonome du Centre et de l’Ouest (PACO) (et les entreprises qui y sont actives) bénéficient grandement de cette activité croissante : elles constituent d’ailleurs elles-mêmes des vecteurs essentiels du développement du transport fluvial. En Wallonie picarde, 5.000 emplois directs sont liées à l’utilisation de la voie d’eau…
Par rapport à la route, le transport fluvial, c’est :
3 fois moins d’émissions de CO2, 3 à 6 fois moins de carburant consommé 45 fois moins de bruit, 100 à 300 fois plus sûr
Bien plus qu’un projet de navigation
Modernisé, le Pont des Trous est désormais au cœur d’un écrin. Un espace partagé, invitant à la détente au bord du fleuve. Demeurant propriété du SPW, il va voir sa gestion remise à la Ville de Tournai, qui espérons-le le mettra en valeur.
Dans un autre contexte, des chantiers importants ont déjà été menés aux quais Notre-Dame et Marché au Poisson (2005-2006), quai des Salines (2010) et Dumon (2016-2017).
Cette fois, tous les abords de l’Escaut, rive gauche comme rive droite, ont été rénovés. Une opportunité inespérée pour que la ville, ses habitants mais aussi les touristes se réapproprient le fleuve sur tout son tracé tournaisien.
Six années d’un chantier intense s’achèvent désormais dans la cité aux Cinq Clochers. Au terme d’opérations lourdes et pourtant menées avec brio au cœur d’une ville historique, la traversée de Tournai par l’Escaut est donc parée pour la navigation d’aujourd’hui et de demain. Le trafic de fret sur le Haut-Escaut augmente d’ailleurs déjà depuis 2020, signe d’un développement économique réel, et plus respectueux de l’environnement.
Ce chantier, aussi technique qu’impressionnant à de nombreux moments, s’est avant tout révélé une formidable aventure humaine : des défis ont été relevés quotidiennement, grâce à l’implication, les compétences et le talent déployés au quotidien par plus de 900 femmes et hommes. Ouvriers, artisans, employés, fonctionnaires, architectes, ingénieurs, contrôleurs, experts… c’est avant tout le génie humain, la ténacité et le courage qui ont permis de mener à bien ces travaux.
Le trafic fluvial à Tournai est en constante évolution depuis 2020 (environ 6 % de croissance annuelle).
Les zones portuaires gérées par le Port Autonome du Centre et de l’Ouest (PACO) (et les entreprises qui y sont actives) bénéficient grandement de cette activité croissante : elles constituent d’ailleurs elles-mêmes des vecteurs essentiels du développement du transport fluvial. En Wallonie picarde, 5.000 emplois directs sont liées à l’utilisation de la voie d’eau…
Par rapport à la route, le transport fluvial, c’est :
3 fois moins d’émissions de CO2, 3 à 6 fois moins de carburant consommé 45 fois moins de bruit, 100 à 300 fois plus sûr
Bien plus qu’un projet de navigation
Modernisé, le Pont des Trous est désormais au cœur d’un écrin. Un espace partagé, invitant à la détente au bord du fleuve. Demeurant propriété du SPW, il va voir sa gestion remise à la Ville de Tournai, qui espérons-le le mettra en valeur.
Dans un autre contexte, des chantiers importants ont déjà été menés aux quais Notre-Dame et Marché au Poisson (2005-2006), quai des Salines (2010) et Dumon (2016-2017).
Cette fois, tous les abords de l’Escaut, rive gauche comme rive droite, ont été rénovés. Une opportunité inespérée pour que la ville, ses habitants mais aussi les touristes se réapproprient le fleuve sur tout son tracé tournaisien.