Les agriculteurs bloquent l’accès de la centrale Colruyt d’Ollignies (Lessines) en raison de sa politique en matière d’achat de terres, et de sa communication trompeuse.
Les jeunes agriculteurs (FJA) et la Fugea (La Fédération Unie de Groupements d’Éleveurs et d’Agriculteur) sont présents en nombre devant l’entrée afin de faire entendre leur ras-le-bol quant à l’attitude de l’enseigne à leur égard.
Pour eux l’accaparement des terres agricoles que Colruyt mène est un gros soucis (le groupe souhaite acquérir plusieurs milliers d’hectares). Pour cela, l’enseigne est prête à débourser des sommes folles, dépassant parfois les 100.000 €/ha. Cela engendre une pression sur le marché et une hausse des prix. Les premières victimes sont bien évidemment les agriculteurs, qui se voient confisquer un outil de production aussi essentiel que la terre.
Deuxième élément, une communication trompeuse. Colruyt n’hésiterait pas à surfer sur la bonne image des agriculteurs quand cela arrange. Mais comme d’autres enseignes en Belgique, elle contribue à une mauvaise rémunération en faisant pression sur les prix des éleveurs et producteurs.
La police est présente sur place. Une réunion est prévue la semaine prochaine entre Colruyt , la FWa et la Fugea.
Les agriculteurs bloquent l’accès de la centrale Colruyt d’Ollignies (Lessines) en raison de sa politique en matière d’achat de terres, et de sa communication trompeuse.
Les jeunes agriculteurs (FJA) et la Fugea (La Fédération Unie de Groupements d’Éleveurs et d’Agriculteur) sont présents en nombre devant l’entrée afin de faire entendre leur ras-le-bol quant à l’attitude de l’enseigne à leur égard.
Pour eux l’accaparement des terres agricoles que Colruyt mène est un gros soucis (le groupe souhaite acquérir plusieurs milliers d’hectares). Pour cela, l’enseigne est prête à débourser des sommes folles, dépassant parfois les 100.000 €/ha. Cela engendre une pression sur le marché et une hausse des prix. Les premières victimes sont bien évidemment les agriculteurs, qui se voient confisquer un outil de production aussi essentiel que la terre.
Deuxième élément, une communication trompeuse. Colruyt n’hésiterait pas à surfer sur la bonne image des agriculteurs quand cela arrange. Mais comme d’autres enseignes en Belgique, elle contribue à une mauvaise rémunération en faisant pression sur les prix des éleveurs et producteurs.
La police est présente sur place. Une réunion est prévue la semaine prochaine entre Colruyt , la FWa et la Fugea.