Au dépôt de Jumet, une infrastructure a vu le jour au printemps 2015, avec 2 objectifs :
La surface de récolte d’eau de pluie est de 3200 m², ce qui est suffisant pour capter l’eau nécessaire pour laver les bus et les trams. « Cela dépend toutefois des périodes et notamment du nombre de bus et trams à nettoyer » nous précise Jérôme Van De Mersh, laveur de trams au dépôt de Jumet. «
Depuis 2015, le TEC est quasiment auto-suffisant au niveau de l’eau de pluie pour le lavage. L’eau récoltée dans la citerne suffit presque tout le temps pour laver les trams/bus, elle a juste été approvisionnée quelques fois en eau de ville depuis 2015 en raison de fortes périodes de sécheresse.
Jérôme nous explique le processus de récolte de cette eau : « Tout d’abord, le tram entre dans la zone de lavage où il passe un “scanning”, où le tram est scanné et toutes les informations le concernant sont affichées sur un tableau qui indique l’historique de nettoyage, etc. Ensuite il y a des feux, s’il est rouge, cela indique qu’il y a un problème ou qu’il n’y a plus assez d’eau de pluie. Nous passons alors à l’eau de ville. Si le feu est vert, le tram peut passer au lavage, et nous utilisons principalement l’eau de pluie filtrée afin d’éliminer tout déchet. Le tram est ensuite aspergé d’un mélange d’eau et de savon. Nous utilisons un savon qui ne va pas agresser la carrosserie. Il passe ensuite au rinçage.»
Photo : Tec Charleroi
Au dépôt de Jumet, une infrastructure a vu le jour au printemps 2015, avec 2 objectifs :
La surface de récolte d’eau de pluie est de 3200 m², ce qui est suffisant pour capter l’eau nécessaire pour laver les bus et les trams. « Cela dépend toutefois des périodes et notamment du nombre de bus et trams à nettoyer » nous précise Jérôme Van De Mersh, laveur de trams au dépôt de Jumet. «
Depuis 2015, le TEC est quasiment auto-suffisant au niveau de l’eau de pluie pour le lavage. L’eau récoltée dans la citerne suffit presque tout le temps pour laver les trams/bus, elle a juste été approvisionnée quelques fois en eau de ville depuis 2015 en raison de fortes périodes de sécheresse.
Jérôme nous explique le processus de récolte de cette eau : « Tout d’abord, le tram entre dans la zone de lavage où il passe un “scanning”, où le tram est scanné et toutes les informations le concernant sont affichées sur un tableau qui indique l’historique de nettoyage, etc. Ensuite il y a des feux, s’il est rouge, cela indique qu’il y a un problème ou qu’il n’y a plus assez d’eau de pluie. Nous passons alors à l’eau de ville. Si le feu est vert, le tram peut passer au lavage, et nous utilisons principalement l’eau de pluie filtrée afin d’éliminer tout déchet. Le tram est ensuite aspergé d’un mélange d’eau et de savon. Nous utilisons un savon qui ne va pas agresser la carrosserie. Il passe ensuite au rinçage.»
Photo : Tec Charleroi