Ces 2 dernières années, le personnel des trains et gares a été de plus en plus souvent victime d’agressions dans l’exercice de son travail. En 2022, 1.900 cas d’agression ont été recensés. Une tendance qui se poursuit également cette année, avec 200 agressions en ce début d’année, soit +50% en comparaison avec les 130 cas de janvier 2022. Quatre agressions sur 10 dégénèrent en violence physique.
La SNCB condamne fermement toute forme d’agression et lance une nouvelle campagne pour y mettre fin. Aujourd’hui, pour faire entendre cet appel, des collaborateurs de la SNCB, rassemblés à la gare de Bruxelles-Nord, ont donné un coup de sifflet final aux agressions. Un signal clair de la SNCB qui appelle au respect de ses collaborateurs.
Quatre agressions sur 10 impliquent des violences physiques. Les autres sont des agressions verbales allant des insultes aux menaces. Inutile de dire que cela impacte lourdement les personnes concernées. L’an dernier, 450 collaborateurs ont été absents en raison d’une agression, ce qui représente 9.200 jours d’incapacité au total. Les agressions ont aussi un impact croissant sur la ponctualité et le nombre de trains supprimés.
Ces 2 dernières années, le personnel des trains et gares a été de plus en plus souvent victime d’agressions dans l’exercice de son travail. En 2022, 1.900 cas d’agression ont été recensés. Une tendance qui se poursuit également cette année, avec 200 agressions en ce début d’année, soit +50% en comparaison avec les 130 cas de janvier 2022. Quatre agressions sur 10 dégénèrent en violence physique.
La SNCB condamne fermement toute forme d’agression et lance une nouvelle campagne pour y mettre fin. Aujourd’hui, pour faire entendre cet appel, des collaborateurs de la SNCB, rassemblés à la gare de Bruxelles-Nord, ont donné un coup de sifflet final aux agressions. Un signal clair de la SNCB qui appelle au respect de ses collaborateurs.
Quatre agressions sur 10 impliquent des violences physiques. Les autres sont des agressions verbales allant des insultes aux menaces. Inutile de dire que cela impacte lourdement les personnes concernées. L’an dernier, 450 collaborateurs ont été absents en raison d’une agression, ce qui représente 9.200 jours d’incapacité au total. Les agressions ont aussi un impact croissant sur la ponctualité et le nombre de trains supprimés.