Ce mardi, dans le cadre de Wallon’s en Ville, on passe à la loupe un nouvel élément incontournable de Verviers : l’Eglise Saint-Remacle. Une église rattachée au plus ancien diocèse de Belgique, le Diocèse de Liège, et qui fait partie de l’unité pastorale Val de Vesdre.
Pour trouver l’origine de cet édifice construit par J. et A-M Vivroux, il faut remonter au début du 19ème siècle. Plus précisément entre 1834 et 1838. Une époque prospère où Verviers bâtissait sa réputation de « cité de la laine ». Suite à l’impressionnant développement et à la richesse de la cité, les industriels décident d’accompagner la construction de cette église, succédant à l’ancienne église Saint Remacle. Ils décident alors de financer une partie des travaux. Des politiques vont également s’investir dans la construction du lieu, en effectuant des donations d’argent. Ce sera le cas, notamment, de Édouard et Raymond de Biolley. Pour les remercier de ce financement, une sculpture à l’effigie de Saint Raymond et Saint Édouard a été construite au pied de la Chaire de vérité.
D’un point de vue architectural, l’église arbore un style « basilique-romaine », avec des formes très carrées, et très peu d’arrondis. Ce qui n’empêche pas de porter une attention particulière aux détails, comme le Cœur de l’église (finement décoré), l’orgue, ou encore sur les différentes statues qui ornent les lieux, en intérieur comme en extérieur.
Aujourd’hui, l’église n’est plus aussi fréquentée qu’à l’époque. Elle n’est ouverte que pour les grandes occasions, comme les grandes fêtes et manifestations religieuses.
Ce mardi, dans le cadre de Wallon’s en Ville, on passe à la loupe un nouvel élément incontournable de Verviers : l’Eglise Saint-Remacle. Une église rattachée au plus ancien diocèse de Belgique, le Diocèse de Liège, et qui fait partie de l’unité pastorale Val de Vesdre.
Pour trouver l’origine de cet édifice construit par J. et A-M Vivroux, il faut remonter au début du 19ème siècle. Plus précisément entre 1834 et 1838. Une époque prospère où Verviers bâtissait sa réputation de « cité de la laine ». Suite à l’impressionnant développement et à la richesse de la cité, les industriels décident d’accompagner la construction de cette église, succédant à l’ancienne église Saint Remacle. Ils décident alors de financer une partie des travaux. Des politiques vont également s’investir dans la construction du lieu, en effectuant des donations d’argent. Ce sera le cas, notamment, de Édouard et Raymond de Biolley. Pour les remercier de ce financement, une sculpture à l’effigie de Saint Raymond et Saint Édouard a été construite au pied de la Chaire de vérité.
D’un point de vue architectural, l’église arbore un style « basilique-romaine », avec des formes très carrées, et très peu d’arrondis. Ce qui n’empêche pas de porter une attention particulière aux détails, comme le Cœur de l’église (finement décoré), l’orgue, ou encore sur les différentes statues qui ornent les lieux, en intérieur comme en extérieur.
Aujourd’hui, l’église n’est plus aussi fréquentée qu’à l’époque. Elle n’est ouverte que pour les grandes occasions, comme les grandes fêtes et manifestations religieuses.
