De nombreux chièvrois, plaisanciers, cyclos, marcheurs, musiciens, clients d’un jour ou de toujours, ont appris la nouvelle ce mercredi : Gina Platiau, du café « chez Gina » est partie.
Depuis 1956, toutes les générations ont pris goût à prendre un verre dans cet établissement situé au coeur du village de Ladeuze. En 66 années de service, Gina inspirait le respect, l’écoute, la confiance. Sa clientèle, c’était sa famille. Dans cet établissement rien n’a changé durant toutes ces années malgré les modes et les époques.
Au mur, les coupes, les faire-part, les autocollants de club de football d’hier et d’aujourd’hui et des Diables Rouges. « Mon plaisir était de faire découvrir cet endroit unique à des amis de Bruxelles, de France ou des collègues journalistes sans oublier la famille » souligne notre journaliste Geoffrey Ghilmot. « Parce qu’ici on s’y sentait bien comme à l’abri du temps et des soucis« . Derrière son comptoir Gina s’occupait des commandes, avec l’aide bienveillante de la famille et des clients. Ce cabaret, c’était bien, c’était chouette, chez… Gina ! Merci !
La rédaction présente ses sincères condoléances à sa famille et ses proches.
De nombreux chièvrois, plaisanciers, cyclos, marcheurs, musiciens, clients d’un jour ou de toujours, ont appris la nouvelle ce mercredi : Gina Platiau, du café « chez Gina » est partie.
Depuis 1956, toutes les générations ont pris goût à prendre un verre dans cet établissement situé au coeur du village de Ladeuze. En 66 années de service, Gina inspirait le respect, l’écoute, la confiance. Sa clientèle, c’était sa famille. Dans cet établissement rien n’a changé durant toutes ces années malgré les modes et les époques.
Au mur, les coupes, les faire-part, les autocollants de club de football d’hier et d’aujourd’hui et des Diables Rouges. « Mon plaisir était de faire découvrir cet endroit unique à des amis de Bruxelles, de France ou des collègues journalistes sans oublier la famille » souligne notre journaliste Geoffrey Ghilmot. « Parce qu’ici on s’y sentait bien comme à l’abri du temps et des soucis« . Derrière son comptoir Gina s’occupait des commandes, avec l’aide bienveillante de la famille et des clients. Ce cabaret, c’était bien, c’était chouette, chez… Gina ! Merci !
La rédaction présente ses sincères condoléances à sa famille et ses proches.