Nous écouter !
Bilan médiocre des soldes d’hiver
Publié le 29 janvier, 2022

A quelques heures de la fin des soldes, l’UCM a sondé les commerçants. Ils sont pour la plupart déçus. Selon eux, c’est la baisse du pouvoir d’achat liée au prix de l’énergie et la vague de maladies et de quarantaines qui expliquent le peu de fréquentation des magasins.

Les commerçants indépendants n’attendaient pas de miracle. Il n’y a pas eu de miracle.

Les consommateurs sont restés frileux. Le résultat est évidemment meilleur que l’an dernier, mais reste inférieur d’au moins 15 % à celui de 2019.

L’interdiction d’entrer à plus de deux personnes dans les espaces de vente n’a guère eu d’influence. Pour les commerçants de proximité, qui connaissent leurs clients, le shopping plaisir n’est que partiellement revenu parce que les consommateurs surveillent leur portefeuille. Ils subissent la flambée des prix de l’énergie et sont inquiets. De plus, les acheteurs potentiels ont été nombreux à se retrouver malades, en isolement ou en quarantaine durant ce mois de janvier.

Le télétravail joue également. Il favorise les achats en ligne et déplace la clientèle au détriment des grands centres urbains. Mais il modifie aussi les habitudes d’achat. Les centaines de milliers de Belges qui ne sortent quasiment plus de chez eux s’habillent autrement, de façon plus décontractée. Cela réduit la demande de chaussures de ville, de vestons, de robes…

Bilan médiocre des soldes d’hiver
Publié le 29 janvier, 2022

A quelques heures de la fin des soldes, l’UCM a sondé les commerçants. Ils sont pour la plupart déçus. Selon eux, c’est la baisse du pouvoir d’achat liée au prix de l’énergie et la vague de maladies et de quarantaines qui expliquent le peu de fréquentation des magasins.

Les commerçants indépendants n’attendaient pas de miracle. Il n’y a pas eu de miracle.

Les consommateurs sont restés frileux. Le résultat est évidemment meilleur que l’an dernier, mais reste inférieur d’au moins 15 % à celui de 2019.

L’interdiction d’entrer à plus de deux personnes dans les espaces de vente n’a guère eu d’influence. Pour les commerçants de proximité, qui connaissent leurs clients, le shopping plaisir n’est que partiellement revenu parce que les consommateurs surveillent leur portefeuille. Ils subissent la flambée des prix de l’énergie et sont inquiets. De plus, les acheteurs potentiels ont été nombreux à se retrouver malades, en isolement ou en quarantaine durant ce mois de janvier.

Le télétravail joue également. Il favorise les achats en ligne et déplace la clientèle au détriment des grands centres urbains. Mais il modifie aussi les habitudes d’achat. Les centaines de milliers de Belges qui ne sortent quasiment plus de chez eux s’habillent autrement, de façon plus décontractée. Cela réduit la demande de chaussures de ville, de vestons, de robes…