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Tournai : après le drame, les élèves de Saint Luc veulent plus de sécurité devant leur école
Publié le 16 décembre, 2021

Ce midi, l’émotion collective et le recueillement ont fait sortir de classe les élèves de l’institution. La démonstration du danger encouru chaque jour, ajoute un membre de l’équipe enseignante après l’accident qui a couté la vie à jeune fille de 19 ans sortant des cours lundi. Chaque jour, sur ce site, il y a environ 1.800 personnes, dont 1.500 étudiants de l’école secondaire et de l’ESA Saint-Luc Tournai.

Les jeunes sont nombreux à traverser cette route nationale, d’un autre temps située devant l’école, route empruntée par un large trafic de voitures, de camions et de bus, surtout aux heures de pointe qui correspondent avec les entrées et sorties de cours.

Des travaux de réduction de la chaussée ont été réalisés récemment, la vitesse a été limitée à 30 km/h. « On voit bien que cela ne suffit pas », s’exprime une enseignante. « Même pas de feu-stop, même pas de casse-vitesse. C’est une passerelle qui aurait dû être installée, afin que les piétons n’aient plus à mettre leurs pieds sur cette route pour la traverser, au péril de leur vie. Mais on dirait que c’est trop compliqué, trop onéreux, trop trop trop… pour la bureaucratie dans laquelle nous vivons et son saucissonnage absurde des compétences« . peut on lire sur les réseaux sociaux.

Le Bourgmestre a contacté le SPW Mobilité et Infrastructures

Paul Olivier Delannoy a pris contact avec les responsables des routes régionales dont dépend la chaussée. La question de la sécurisation de la chaussée sera abordée lors du prochain comité provincial de Sécurité. Un radar pourrait être installé à proximité du passage piéton.

Le Bourgmestre rappelle aussi que dernièrement, quatre accidents ont impliqué des piétons traversant la chaussée dans les tournaisis, de quoi inciter à la plus grande prudence piéton, comme automobiliste.

Tournai : après le drame, les élèves de Saint Luc veulent plus de sécurité devant leur école
Publié le 16 décembre, 2021

Ce midi, l’émotion collective et le recueillement ont fait sortir de classe les élèves de l’institution. La démonstration du danger encouru chaque jour, ajoute un membre de l’équipe enseignante après l’accident qui a couté la vie à jeune fille de 19 ans sortant des cours lundi. Chaque jour, sur ce site, il y a environ 1.800 personnes, dont 1.500 étudiants de l’école secondaire et de l’ESA Saint-Luc Tournai.

Les jeunes sont nombreux à traverser cette route nationale, d’un autre temps située devant l’école, route empruntée par un large trafic de voitures, de camions et de bus, surtout aux heures de pointe qui correspondent avec les entrées et sorties de cours.

Des travaux de réduction de la chaussée ont été réalisés récemment, la vitesse a été limitée à 30 km/h. « On voit bien que cela ne suffit pas », s’exprime une enseignante. « Même pas de feu-stop, même pas de casse-vitesse. C’est une passerelle qui aurait dû être installée, afin que les piétons n’aient plus à mettre leurs pieds sur cette route pour la traverser, au péril de leur vie. Mais on dirait que c’est trop compliqué, trop onéreux, trop trop trop… pour la bureaucratie dans laquelle nous vivons et son saucissonnage absurde des compétences« . peut on lire sur les réseaux sociaux.

Le Bourgmestre a contacté le SPW Mobilité et Infrastructures

Paul Olivier Delannoy a pris contact avec les responsables des routes régionales dont dépend la chaussée. La question de la sécurisation de la chaussée sera abordée lors du prochain comité provincial de Sécurité. Un radar pourrait être installé à proximité du passage piéton.

Le Bourgmestre rappelle aussi que dernièrement, quatre accidents ont impliqué des piétons traversant la chaussée dans les tournaisis, de quoi inciter à la plus grande prudence piéton, comme automobiliste.