Le comité de concertation s’est à nouveau réuni ce vendredi. Au menu, le port du masque, les boites de nuit, ou encore le Covid Safe Ticket. Certaines mesures sont assouplies, d’autres restent toujours strictes selon les régions.
Tout d’abord, le masque ne sera plus obligatoire dans les commerces, l’horeca et les entreprises dès le premier octobre. En tout cas au niveau fédéral. Mais sur ce socle minimum fédéral, chaque région pourra choisir d’imposer des mesures plus strictes. La Wallonie et Bruxelles devraient maintenir le masque obligatoire, pas la Flandre.
Au niveau fédéral, le masque restera obligatoire pour les plus de 12 ans dans les transports en communs, gares, aéroports, dans les établissements de soins, pour le personnel et les patients de métiers de contacts, et pour les évènements sans « Pass sanitaire ».
Parmi les autres décisions prises hier, le Comité confirme la réouverture des discothèques dès le 1er octobre, mais il faudra présenter un Covid Safe Ticket. Ce Covid Safe Ticket justement, il sera désormais demandé pour les évènements de plus de 500 personnes en intérieur, ou 750 personnes en extérieur. Mais comme pour le port du masque, chaque région peut décider de durcir le ton. À Bruxelles par exemple, ce Covid Safe Ticket sera obligatoire dans l’Horeca, le secteur culturel, ou l’évènement pour les plus de 16 ans. En Wallonie, une décision devrait être prise la semaine prochaine, suivant l’avis du Risk Assessment Group.
Lors de la conférence de presse de ce Comité de Concertation, le Premier ministre Alexander De Croo a durci le ton face aux personnes qui refusent la vaccination : « Ceux qui ne se sont pas fait vacciner sont les personnes responsables du fait que les règles restent strictes à certains endroits. Celui qui ne se fait pas vacciner aujourd’hui, il met en danger sa propre vie et il met aussi en danger la vie des autres ».
Les chiffres sont en effet peu rassurants en ce qui concerne Bruxelles. En cause : un taux de vaccination bien en dessous du seuil de 50% dans certaines communes de la capitale. Une « ni acceptable ni tenable », selon le Premier ministre. « On ne peut l’accepter, on ne peut accepter que des gens fassent le choix de mettre d’autres personnes en danger. Les soins intensifs sont devenus des endroits où on rassemble des gens qui ne sont pas vaccinés » a-t-il conclu.
Pour plus de précisions sur les dernières décisions du Comité de Concertation, rendez-vous sur : https://www.info-coronavirus.be/fr/news/occ-1709/
Le comité de concertation s’est à nouveau réuni ce vendredi. Au menu, le port du masque, les boites de nuit, ou encore le Covid Safe Ticket. Certaines mesures sont assouplies, d’autres restent toujours strictes selon les régions.
Tout d’abord, le masque ne sera plus obligatoire dans les commerces, l’horeca et les entreprises dès le premier octobre. En tout cas au niveau fédéral. Mais sur ce socle minimum fédéral, chaque région pourra choisir d’imposer des mesures plus strictes. La Wallonie et Bruxelles devraient maintenir le masque obligatoire, pas la Flandre.
Au niveau fédéral, le masque restera obligatoire pour les plus de 12 ans dans les transports en communs, gares, aéroports, dans les établissements de soins, pour le personnel et les patients de métiers de contacts, et pour les évènements sans « Pass sanitaire ».
Parmi les autres décisions prises hier, le Comité confirme la réouverture des discothèques dès le 1er octobre, mais il faudra présenter un Covid Safe Ticket. Ce Covid Safe Ticket justement, il sera désormais demandé pour les évènements de plus de 500 personnes en intérieur, ou 750 personnes en extérieur. Mais comme pour le port du masque, chaque région peut décider de durcir le ton. À Bruxelles par exemple, ce Covid Safe Ticket sera obligatoire dans l’Horeca, le secteur culturel, ou l’évènement pour les plus de 16 ans. En Wallonie, une décision devrait être prise la semaine prochaine, suivant l’avis du Risk Assessment Group.
Lors de la conférence de presse de ce Comité de Concertation, le Premier ministre Alexander De Croo a durci le ton face aux personnes qui refusent la vaccination : « Ceux qui ne se sont pas fait vacciner sont les personnes responsables du fait que les règles restent strictes à certains endroits. Celui qui ne se fait pas vacciner aujourd’hui, il met en danger sa propre vie et il met aussi en danger la vie des autres ».
Les chiffres sont en effet peu rassurants en ce qui concerne Bruxelles. En cause : un taux de vaccination bien en dessous du seuil de 50% dans certaines communes de la capitale. Une « ni acceptable ni tenable », selon le Premier ministre. « On ne peut l’accepter, on ne peut accepter que des gens fassent le choix de mettre d’autres personnes en danger. Les soins intensifs sont devenus des endroits où on rassemble des gens qui ne sont pas vaccinés » a-t-il conclu.
Pour plus de précisions sur les dernières décisions du Comité de Concertation, rendez-vous sur : https://www.info-coronavirus.be/fr/news/occ-1709/