C’est avec une immense tristesse que l’on a appris le décès de Denis Sauvage.
L’athois de 48 ans était un amoureux de sa ville, de son folklore, de son géant. C’était également un sportif au grand cœur. Judo, Squash, il a animé de nombreux stages pour jeunes pendant les vacances scolaires. Il était également présent sur les planches avec les membres de l’Atelier Théâtral de la Marcotte de Huissignies.
Professeur, il était passionné par son métier et n’hésitait pas à aider les élèves qui rencontraient un pépin au niveau familial.
Son Orval, il le partageait avec ses amis sur la Grand Place. Le sens de la fête était en lui. Ses interprétations du morceau « Gigi L’amoroso » de Dalida sont dans les mémoires de longues soirées. Denis y brillait, avec cette expression athoise si amicale qu’il lançait le sourire aux lèvres : « ça va Noue ? ».
A son frère jumeau, sa famille, ses nombreux amis, la rédaction présente ses plus sincères condoléances.
C’est avec une immense tristesse que l’on a appris le décès de Denis Sauvage.
L’athois de 48 ans était un amoureux de sa ville, de son folklore, de son géant. C’était également un sportif au grand cœur. Judo, Squash, il a animé de nombreux stages pour jeunes pendant les vacances scolaires. Il était également présent sur les planches avec les membres de l’Atelier Théâtral de la Marcotte de Huissignies.
Professeur, il était passionné par son métier et n’hésitait pas à aider les élèves qui rencontraient un pépin au niveau familial.
Son Orval, il le partageait avec ses amis sur la Grand Place. Le sens de la fête était en lui. Ses interprétations du morceau « Gigi L’amoroso » de Dalida sont dans les mémoires de longues soirées. Denis y brillait, avec cette expression athoise si amicale qu’il lançait le sourire aux lèvres : « ça va Noue ? ».
A son frère jumeau, sa famille, ses nombreux amis, la rédaction présente ses plus sincères condoléances.