À partir du 1er novembre, plusieurs mesures importantes entrent en vigueur en Belgique, touchant aussi bien le secteur des soins de santé que le commerce.
Les infirmiers à domicile pourront désormais effectuer davantage de soins sans prescription médicale, selon une décision de l’INAMI.
Jusqu’à présent, chaque acte devait être accompagné d’une prescription pour permettre le remboursement par la mutualité.
Cette obligation disparaît : les traitements resteront établis par un médecin, mais les infirmiers n’auront plus besoin d’une prescription pour chaque soin individuel.
Les médicaments, en revanche, continueront à nécessiter une ordonnance médicale.
Cette mesure vise à renforcer l’autonomie des soignants et à alléger la charge administrative.

Autre nouveauté : les médecins pratiquant une euthanasie seront désormais rémunérés.
L’INAMI introduit un honoraire de 180,24 euros, couvrant la pratique de l’acte, la constatation du décès et la rédaction de l’acte de décès.
Jusqu’ici, aucun remboursement n’était prévu, et les frais restaient à charge des proches.
Désormais, les mutualités prendront en charge ces honoraires, supprimant tout coût pour le patient et sa famille.
Enfin, sur le plan économique, la nouvelle autorisation “Commerçant Alcool et Tabac” simplifie les démarches administratives.
Ce document remplace les trois autorisations auparavant nécessaires pour vendre de l’alcool, du tabac manufacturé ou brut, et s’applique aussi aux commerces d’e-liquides.
L’objectif : alléger les formalités pour les commerçants tout en renforçant la clarté des règles.

En résumé, ce 1er novembre marque une série de changements pratiques visant à simplifier le travail des professionnels — qu’ils soient infirmiers, médecins ou commerçants.
À partir du 1er novembre, plusieurs mesures importantes entrent en vigueur en Belgique, touchant aussi bien le secteur des soins de santé que le commerce.
Les infirmiers à domicile pourront désormais effectuer davantage de soins sans prescription médicale, selon une décision de l’INAMI.
Jusqu’à présent, chaque acte devait être accompagné d’une prescription pour permettre le remboursement par la mutualité.
Cette obligation disparaît : les traitements resteront établis par un médecin, mais les infirmiers n’auront plus besoin d’une prescription pour chaque soin individuel.
Les médicaments, en revanche, continueront à nécessiter une ordonnance médicale.
Cette mesure vise à renforcer l’autonomie des soignants et à alléger la charge administrative.

Autre nouveauté : les médecins pratiquant une euthanasie seront désormais rémunérés.
L’INAMI introduit un honoraire de 180,24 euros, couvrant la pratique de l’acte, la constatation du décès et la rédaction de l’acte de décès.
Jusqu’ici, aucun remboursement n’était prévu, et les frais restaient à charge des proches.
Désormais, les mutualités prendront en charge ces honoraires, supprimant tout coût pour le patient et sa famille.
Enfin, sur le plan économique, la nouvelle autorisation “Commerçant Alcool et Tabac” simplifie les démarches administratives.
Ce document remplace les trois autorisations auparavant nécessaires pour vendre de l’alcool, du tabac manufacturé ou brut, et s’applique aussi aux commerces d’e-liquides.
L’objectif : alléger les formalités pour les commerçants tout en renforçant la clarté des règles.

En résumé, ce 1er novembre marque une série de changements pratiques visant à simplifier le travail des professionnels — qu’ils soient infirmiers, médecins ou commerçants.